Les pays développés promettent 300 milliards de dollars par an d'ici 2035 pour aider les pays pauvres face au climat, mais l'accord de la COP29 déçoit fortement le monde en développement.
Sans garantie de succès, les négociations climatiques houleuses de l'ONU à Bakou se poursuivent intensément samedi sur un accord à 300 milliards de dollars par an pour les pays les plus pauvres, qui tentent d'arracher d'ultimes concessions.
Les pays les moins développés sont insatisfaits des propositions issues à ce jour de la COP29. Aucun accord n'a été trouvé pour le moment. François Gemenne est professeur à HEC Paris et chercheur à l'Université de Liège, spécialiste du climat et des migrations, a répondu aux questions de RTL info.
La COP29, dont les négociations patinent sur l'adoption d'un nouvel objectif de financement climatique à destination des pays en développement, a connu une nouvelle phase de dramatisation samedi en fin d'après-midi à Bakou.
Les négociations de la COP29, réunies à Bakou, entrent dans une phase décisive. Alors que les pays en développement réclament des financements massifs pour faire face au changement climatique, les propositions des nations riches peinent à répondre aux attentes. Un accord pourrait toutefois se dessiner autour d’une augmentation historique des engagements financiers.
La coalition climat a mené une action ce vendredi matin pour alerter sur les conséquences concrètes du dérèglement climatique. La coalition climat a dressé la liste des pays frappés ces dernières semaines par des phénomènes météo extrêmes. Et pour le prouver, ils ont rassemblé des déchets du monde entier liés à ces catastrophes climatiques.
A la COP, le représentant des Etats-Unis a essayé de rassurer. Le délégué de Joe Biden a précisé que le travail allait se poursuivre aux Etats-Unis, même si Donald Trump met l'action climatique sur pause. Donald Trump s'était retiré des accord climatiques pendant son précédent mandat. Une organisation environnementales a fait le calcul. Son élection pourrait ajouter 4 milliards de tonnes de gaz à effet de serre d'ici à 2030.
Nous allons devoir nous adapter aux changements climatiques. C'est même devenu une évidence en Europe. C'est ce que révèle une enquête de la Banque européenne d'investissement, que nous avons analysé.
L'émissaire américain du président démocrate sortant Joe Biden à la COP29 à Bakou a cherché lundi à assurer au monde que les États-Unis n'abandonneraient pas la lutte contre le changement climatique, malgré l'arrivée prochaine du climatosceptique Donald Trump.
La 29e conférence des Nations unies sur le changement climatique, ou COP29, s'ouvre ce lundi à Bakou (Azerbaïdjan). La Belgique sera représentée par une délégation de 140 personnes. Quel rôle peut jouer notre pays? Les Belges vont-ils devoir contribuer à l'effort? Nous avons posé la question à un expert du GIEC.
La 29e conférence des Nations unies sur le changement climatique, ou COP29, s'ouvre ce lundi à Bakou (Azerbaïdjan). Plusieurs dizaines de milliers de participants (négociateurs, responsables politiques, experts, scientifiques, membres d'ONG, lobbyistes, journalistes...) y sont attendus jusqu'au 22 novembre, dans un monde en ébullition et sur fond de "come-back" du climato-sceptique Donald Trump à la fonction suprême des Etats-Unis.
La COP29 s'ouvre ce lundi à Bakou en Azerbaïdjan. L'enjeu de cette conférence est de déterminer comment les pays industrialisés peuvent soutenir les pays du sud, plus vulnérables, dans leur transition écologique. Mais concrètement, que peut-on attendre d'une énième conférence mondiale sur le climat ?
L'Afghanistan assistera à la COP29 qui s'ouvre lundi en Azerbaïdjan, une première depuis le retour au pouvoir du gouvernement taliban en 2021, reconnu par aucun État au monde mais qui plaide pour être associé aux discussions internationales sur le climat.
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