La course aux sapins de Noël a débuté. Norman ou épicéa, sapin qui sent ou qui ne sent pas : il y a l’embarras du choix et chacun a ses critères. Actuellement, la production wallonne annuelle d'arbres de Noël avoisine les 2 millions d'arbres, ce qui fait de la Belgique le deuxième pays européen exportateur de sapins de Noël après le Danemark.
De plus en plus prisés, les calendriers de l'Avent se déclinent sous toutes les formes et représentent une opportunité à la fois commerciale et créative. Pour les artisans, ils sont synonymes de défi, entre production intense et logistique complexe à quelques jours du 1er décembre.
Bonbons, chocolats, spéculoos. La période des gourmandises de fin d’année a commencé. Des sucreries qui risquent de coûter plus cher que les autres années. La raison ? Les matières premières, comme le chocolat, la crème, le beurre, qui ne cessent d’augmenter.
L'esprit de Noël est présent de plus en plus tôt dans les rayons des magasins, sur les chaînes télévisées ou encore, dans les rues. Pourtant, les fêtes de fin d'année ne sont pas synonymes de bonheur pour tout le monde.
La fête d'Halloween est à peine derrière nous que les décorations de Noël ont déjà envahi les étalages des magasins. Alors que pour certains, il est bien trop tôt, pour d'autres, c'est l'occasion d'étaler son budget sur une plus longue période. Mais aussi, de se replonger dans la magie des fêtes de fin d'année.
Il sera bientôt le roi de votre salon. Le sapin de Noël va connaitre une augmentation de son prix d’environ 5 % cette année, la faute à la météo et à l’inflation. Il faudra compter entre 45 et 50 euros pour un Nordmann d’environ 1m60-1m80, entre 25 et 30 euros pour l’épicéa.