L'ensemble des filières concernées par la suppression dès l'an prochain des 7e années de technique de qualification ou professionnelles en Fédération Wallonie-Bruxelles disposeront toutes d'une alternative de qualité à proximité, a assuré lundi la ministre de l'Éducation Valérie Glatigny (MR).
Lancé par la ministre de l’Éducation, Valérie Glatigny, le baromètre "Respect" a publié ses résultats... Et ils choquent le corps enseignant. Ceux-ci révèlent que 95% des professeurs ont déjà été confrontés à un manque de respect.
Sur base des résultats d'un sondage qu'elle a fait réaliser auprès des enseignants, la ministre de l'Education Valérie Glatigny (MR) entend soumettre prochainement à la concertation du secteur une batterie de mesures afin de rehausser le respect envers les enseignants dans les écoles, a-t-elle annoncé mardi.
La ministre de l'Éducation Valérie Glatigny envisage de suspendre l'allongement du tronc commun jusqu'en 3e secondaire, une annonce qui suscite l'indignation des directeurs de l'enseignement fondamental catholique. Ces derniers dénoncent un manque de concertation et réclament de la stabilité pour mener à bien la réforme.
La grève des enseignants se poursuivait ce mardi. À Liège, ils ont même formé une longue chaîne humaine, qui a atteint le kilomètre dans le cœur de la Cité Ardente.
Coralie est enseignante à Charleroi et elle manifestait, ce lundi, pour la toute première fois en tant que déléguée syndicale. Comme beaucoup d'autres, elle dit avoir choisi de s'engager parce que l'avenir de l'enseignement l'inquiète et qu'il est, dit-elle, grand temps de passer à l'action.
Plus de 30.000 enseignants selon la police -35.000 selon les syndicats- ont bruyamment défilé lundi dans le centre de Bruxelles au premier jour de 48 heures de grève dans les écoles.
La ministre de l'Éducation, Valérie Glatigny, défend la réforme controversée visant à remplacer la nomination à vie par des contrats à durée indéterminée (CDIE) pour stabiliser les jeunes enseignants, tout en promettant une transition pour protéger les droits des actuels enseignants.
"Valérie arrête la casse ou on se casse": plusieurs milliers d'enseignants ont bruyamment défilé lundi dans le centre de Bruxelles au premier jour de 48 heures de grève dans les écoles, pour dénoncer les projets du gouvernement de la FWB.
La ministre de l'Éducation et de l'Enseignement de Promotion sociale en Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny (MR), lance une réforme de l'enseignement pour adultes qui s'étalera sur 10 ans, jusqu'en 2035. Celle-ci s'étalera sur quatre axes.
La Fédération Wallonie-Bruxelles est endettée et l'enseignement représente 65% du budget. La Ministre de l'Éducation pourrait-elle voir dans les salaires des enseignants une possibilité pour réduire cette dette ? Elle nous répond.
Georges-Louis Bouchez était l’invité de 7h50 sur Bel RTL ce jeudi matin. Le président du MR dit espérer un gouvernement pour la rentrée parlementaire, le jeudi 9 janvier, et il est aussi revenu sur l’obligation du néerlandais dans l’enseignement en Wallonie. Contrairement à sa propre ministre de l’Éducation, Valérie Glatigny, il veut maintenir l’idée de rendre le néerlandais obligatoire dès 2027.
Les syndicats d'enseignants se sont encore exprimés ce mercredi matin. Ils ont protesté contre la réforme du secteur, notamment concernant le qualifiant.
Les chiffres de l’absentéisme scolaire grossissent chaque année. La réponse ? Accompagner plutôt que réprimer, c’est l’avis unanime de la Fapeo (qui représente les parents d’élèves de l’officiel), de la Ligue des familles et du délégué général aux droits de l’enfant.
Après la mobilisation des enseignants mardi dernier, la ministre de l'Éducation Valérie Glatigny a tenté de répondre aux inquiétudes du secteur. Mais ses déclarations n'ont pas convaincu les syndicats, notamment sur la suppression de la nomination, les économies dans l'enseignement qualifiant et les réformes pour les élèves.