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A J+1 de l'élimination des Diables Rouges, nos consultants du Vestiaire ont tenté de comprendre la cause de l'échec des Belges dans cet Euro 2024.
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24 heures après l'élimination des Diables Rouges face à la France en huitième de finale de l'Euro 2024, nos consultants du Vestiaire sont revenus sur cette triste défaite. En regardant le tableau des quarts de finale, nos consultants se sont posés la même question : comment la Turquie ou la Suisse peuvent être en quart de finale et pas nous ? Et surtout, pourquoi ?
Pour Thomas Chatelle, cela pose question, justement. "C'est là qu'on voit qu'on a mal bossé en Belgique", assène-t-il. "Pour moi, la Suisse ou la Turquie, voire les Pays-Bas, n'ont pas des effectifs supérieurs au nôtre", estime notre consultant.
De son côté, Marc Delire, plus qu'une question de niveau d'effectif, pointe un manque de vitalité dans le jeu belge. "Comparés à la Suisse ou à la Turquie, nous, on joue sous Prozac. L'animation, le physique... on ne l'a pas. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi les Belges ont l'air tous cramés, alors que les Turcs ou les Suisses, eux, cavalent bien plus que nous".
En jouant à l'avocat du Diable (pas Rouge, celui-ci), Thomas Chatelle estime que les joueurs des nations moindres jouent également moins de matchs à haute intensité. "Ce n'est pas une excuse, mais il faut aller chercher la raison dans la gestion mentale et tactique plus que physique".
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