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La Belgique affrontera la Tunisie samedi à Moscou, dans son deuxième match du groupe G de la Coupe du monde de football. Lors de la conférence de presse ce vendredi après-midi, Axel Witsel a été interrogé sur les forces et faiblesses du futur adversaire des Diables Rouges mais une question récurrente lui a également été posée: quelle est la langue la plus souvent utilisée en équipe nationale?
"A l'entraînement tout le monde comprend l'anglais donc la plupart du temps, c'est cette langue qui est utilisée. Il n'y a pas de langue mise plus en avant (en faisant allusion au français et au néerlandais, ndlr). On est la Belgique, on est ensemble et c'est le plus important", s'est contenté de répondre le milieu de terrain belge.
Ce début de Coupe du monde a par ailleurs été marqué par plusieurs surprises, comme la défaite de l'Allemagne contre le Mexique, le partage du Brésil contre la Suisse ou les débuts difficiles de l'Argentine, qui risque d'être éliminée. De quoi susciter des craintes parmi les Diables Rouges? "On a vu de grosses équipes perdent des points, mais on doit se concentrer sur nous-mêmes", pense Witsel. "Nous avons été bons lors de notre premier match. On est tous contents, même si on aurait pu faire mieux au niveau de la manière. Après, il n'y a aucun match facile. Je n'appellerai pas le match de demain un vrai test, car chaque match est difficile. On doit tout donner pour arracher la qualification."
La Belgique peut déjà se qualifier au terme de cette deuxième journée. S'ils battent la Tunisie et que l'Angleterre ne perd pas contre le Panama dimanche, les Diables Rouges auront déjà leur ticket pour les huitièmes de finale.