Alors que Washington pousse pour un cessez-le-feu temporaire de 30 jours, Moscou reste méfiant. Selon le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, cette pause ne profiterait qu'à l'Ukraine, en difficulté sur le front.
Un accord de cessez-le-feu a été trouvé entre les Ukrainiens et les États-Unis, concernant la guerre en Ukraine. Il reste néanmoins une question : Vladimir Poutine, va-t-il accepter l'accord et donc respecter l'arrêt des combats ? Des diplomates américains sont actuellement en route vers Moscou.
Les discussions entre les délégations ukrainienne et américaine en Arabie Saoudite ont abouti à un accord inattendu de cessez-le-feu immédiat de 30 jours. Cette proposition de cessez-le-feu doit encore être acceptée par Vladimir Poutine. Mais alors, la Belgique a-t-elle changé sa volonté d'investir dans l'armée?
Au terme de plusieurs heures de discussions en Arabie Saoudite, l'Ukraine a accepté une proposition de cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie. En réaction à l'annonce de cet accord, le ministre des Affaires étrangères, Maxime Prévot, a déclaré que c'était "un pas dans la bonne direction", mais "insuffisant".
Alors que Volodymyr Zelensky accepte une trêve de 30 jours, la Russie ne se presse pas pour entériner un accord. Moscou pose des conditions strictes et affiche sa méfiance face à un éventuel dialogue avec Washington.
Moscou met en garde : tout déploiement de troupes de l'Otan en Ukraine serait perçu comme une menace. Sergueï Lavrov assure que la Russie ne tolérera aucune force occidentale sur le terrain. Pendant ce temps, un cessez-le-feu de 30 jours entre Kiev et Moscou est en discussion.
Un cessez-le-feu d’un mois en Ukraine marque une pause dans les combats, mais son respect reste incertain. Entre la stratégie de Moscou, les tensions sur le terrain et le risque de manipulations, cette trêve pourrait rapidement être mise à l’épreuve. La Russie tiendra-t-elle vraiment parole ?
Au terme de plusieurs heures de discussions à Jeddah, en Arabie Saoudite, l'Ukraine a accepté une proposition de cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie. Les États-Unis doivent désormais "convaincre" Moscou de l'accepter, a réagi Volodymyr Zelensky.
Alors qu'un accord de cessez-le-feu se négocie en ce moment en Arabie saoudite dans le cadre du conflit ukrainien, le président français s'est entretenu avec 30 chefs d'état-major des pays européens, prêts à garantir la sécurité en Ukraine. La Belgique en fait partie. Ces dernières semaines, l'idée de déployer des troupes européennes en Ukraine a été évoquée à plusieurs reprises.
Étape décisive en vue de la fin de la guerre en Ukraine : des négociations officielles ont débuté en Arabie Saoudite. Les Ukrainiens espèrent le soutien américain pour obtenir un cessez-le-feu partiel.
Ce mardi, une importante rencontre entre l'Ukraine et les États-Unis a lieu en Arabie Saoudite. Il s'agit de la première réunion entre ces deux pays depuis la visite désastreuse de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche fin février.
L'Australie pourrait envisager de prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu, a indiqué dimanche son Premier ministre Anthony Albanese, tout en précisant qu'il était encore trop tôt pour un déploiement de ses forces armées.
L'OTAN est au cœur des discussions internationales depuis plusieurs semaines. Entre la guerre en Ukraine, les négociations avec Donald Trump et les attaques de Vladimir Poutine... Mais au fond, qu'est-ce que l'OTAN ? Comment est née cette alliance de l'Atlantique Nord ?
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Plus tôt vendredi, Donald Trump avait toutefois menacé la Russie de nouvelles sanctions bancaires et de droits de douane, dénonçant les bombardements continus contre l'Ukraine.
Dans ce contexte de tensions au niveau mondial, nous vous avons demandé comment vous appréhendiez la situation, et si vous vous prépariez à faire face à un éventuel conflit. Les chiffres proviennent d'un sondage RTL info-Ipsos.
Lors du sommet européen extraordinaire de ce jeudi, le Premier ministre hongrois nationaliste Viktor Orban, ardent soutien de Donald Trump, n'a pas donné son aval aux conclusions écrites sur l'Ukraine, qui ont donc été validées par 26 États membres, et non 27. Mais pour quelles raisons ?
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