Le 18 avril 2014, un drame allait secouer la commune de Visé. Alors qu'ils se trouvaient dans l’allée de leur domicile, un couple de banquiers et un enfant de 9 ans sont froidement abattus par un individu armé d’un pistolet. Une histoire que la commune n’oubliera pas.
En 2006, les petites Stacy et Nathalie disparaissaient au cours d'une braderie à Liège. Lorsqu'elles sont retrouvées mortes quelques jours plus tard, un nom arrive rapidement : Abdallah Ait Oud. Lors du procès, et après avoir longtemps nié les faits, l'homme finira par craquer. Mais encore aujourd'hui, des zones d'ombre persistent.
Perdue entre Mons et Valenciennes, la région est appelée "Les Hauts pays". C’est une pointe de campagne belge qui perce en France, des champs qu’on se dispute, des fermes qui vivotent, le théâtre d’un drame que certains ont surnommé "l’affaire Dominici" de chez nous.
Comme dans le célèbre fait divers français, les personnages sont caricaturaux, l’enquête est rythmée par les mensonges, le tempo est donné par les rancœurs du passé et par les silences des accusés.
Le 13 juin 1999 est un jour d’élections, une magnifique journée ensoleillée qui se conjugue à la fête des pères. L’été est là, les vacances sont proches. Après avoir voté, tous envisagent un dimanche après-midi de douce oisiveté. Nicolas Vander Stukken et trois de ses amis, des jeunes gens du coin, ont convenu de se retrouver dans un petit bois entre Rixensart et Tombeek.
Elle s’appelait Sadia, elle avait 20 ans, elle était amoureuse de Jean. Elle a été victime de plusieurs coups de feu, au domicile de sa famille à Lodelinsart. Au cœur de l’automne belge 2007, l’histoire de Sadia émeut et révolte. C’est celle d’une double appartenance qui se résout dans la mort.
L’incrédulité, la stupeur, la consternation puis la tristesse, immense et largement partagée au-delà des clivages politiques. Ce soir du 11 septembre 2017, l’information se répand à la vitesse des mauvaises nouvelles et les Mouscronnois n’en reviennent pas. Leur bourgmestre vient d’être assassiné dans "son" cimetière.
Le 28 juin 2000, vers 9 h du matin, le téléphone sonne aux pompes funèbres Goossens à Berchem-Sainte-Agathe. C’est un médecin qui appelle, le docteur Edouard A. Il demande la prise en charge d’une personne décédée, dit-il, d'un "infarctus massif avec insuffisance coronaire". Le docteur précise que l’incinération doit avoir lieu au plus vite.