Neuf personnes ont été tuées et près de 2.800 autres blessées dans l'explosion mardi de bipeurs appartenant à des membres du Hezbollah au Liban, selon un nouveau bilan du ministère de la Santé. Comment ces appareils ont-ils pu exploser? Alain De Neve, chercheur à l'institut royal de défense, nous livre son analyse.
Des tracts israéliens ont été largués dimanche sur le sud du Liban, demandant à des habitants d'évacuer, ont rapporté un média officiel et un responsable local, l'armée israélienne parlant de l'initiative d'une brigade qui n'avait pas été approuvée.
Israël a affirmé avoir déjoué dimanche une attaque à grande échelle du Hezbollah en menant de multiples frappes au Liban, mais le mouvement libanais a dit avoir réussi à lancer des centaines de drones et de roquettes sur des positions israéliennes pour venger la mort d'un de ses chefs.
Les appels aux ressortissants étrangers à quitter le Liban se multiplient face aux craintes d'une escalade militaire entre l'Iran et ses alliés d'une part et Israël de l'autre, que la communauté internationale tente de prévenir. 400 Belges sont de passage dans le pays et pourraient revenir en urgence.
Le monde entier craint une escalade des tensions au Moyen-Orient. Plusieurs pays, dont la Belgique, ont appelé leurs ressortissants à quitter la zone. Que pourrait-il se passer et quand? Analyse avec notre spécialiste des questions internationales.
Un responsable américain a déclaré ce dimanche que les États-Unis se préparaient à "toutes les éventualités" face aux craintes d'une escalade militaire entre l'Iran et Israël, répétant qu'il était "urgent" de trouver un accord de cessez-le-feu à Gaza.
Le mouvement islamiste libanais Hezbollah a affirmé samedi soir avoir lancé des "dizaines" de roquettes sur le nord d'Israël, en "solidarité" avec les Palestiniens de Gaza et en riposte aux attaques israéliennes sur le sud du Liban.
Les craintes d'un embrasement enflent au Moyen-Orient, où l'Iran et ses alliés multiplient les menaces contre Israël après la mort du chef du Hamas palestinien et du commandant du Hezbollah libanais, et où les États-Unis renforcent leur dispositif militaire.
Le Hezbollah a annoncé avoir lancé des dizaines de roquettes sur le nord d'Israël jeudi, en réponse à une frappe qui a tué quatre Syriens dans le sud du Liban, première attaque du groupe libanais depuis l'assassinat de l'un de ses chefs militaires mardi soir.
L'armée israélienne a mené une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais, visant selon elle un commandant "responsable" de l'attaque meurtrière sur le plateau du Golan auquel Israël avait promis de riposter.
Les Libanais qui vivent sur place ou en Belgique sont très inquiets, leur sécurité au Liban n'est pas garantie et les déplacements au pays parfois risqués.
La Maison Blanche s'est dite "confiante" lundi dans la possibilité d'éviter une guerre plus large entre Israël et le Hezbollah après un fort regain de tensions dans la région à la suite de l'attaque ayant tué 12 jeunes sur le Golan annexé samedi.
Un commandant de l'armée israélienne a indiqué vendredi que les troupes dans le nord du pays, où Israël a une frontière avec le Liban, se préparaient à une "offensive décisive" contre le Hezbollah, après des mois d'échanges de tirs transfrontaliers.
L'agence de presse officielle libanaise (ANI) a annoncé la mort mardi de cinq personnes dont trois enfants dans des frappes israéliennes sur le sud du Liban.
Des dizaines de chèvres mortes gisent parmi les décombres après qu'une frappe israélienne nocturne a touché une ferme à la périphérie de la ville de Jezzine, dans le sud du Liban.
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