Accueil Sport Football Euro 2024

"Un cheat code", "l'homme providentiel": Weghorst a fait chavirer les supporters après son but victorieux

Les Pays-Bas ont eu peur, mais l'ont finalement emporté face à une belle équipe de Pologne. Weghorst a une nouvelle fois enfilé sa cape de héros pour offrir cette victoire importante aux Néerlandais. 

Les Pays-Bas ont pris le meilleur sur la Pologne dans le premier match du groupe D (1-2), l'un des chocs de la première journée de l'Euro 2024. Avec ce résultat, les Néerlandais prennent une belle option dans le groupe composé de la France et de l'Autriche avec trois points importants. Adam Buksa a marqué côté polonais alors que Cody Gakpo et Wout Weghorst sont les buteurs néerlandais.

Revivez notre live vu des réseaux sociaux. 

En direct

Pologne-Pays-Bas vu des réseaux sociaux
C'est terminé !

Les Pays-Bas s'en sortent, mais la Pologne aura montré un beau visage

Weghorst régale les supporters

HO LE BUT DE WEGHORST

Certains l'avaient prédit à la mi-temps ! 

De moins en moins d'occasions

Szczęsny intraitable depuis le début du match

Nouvelle occasion manquée par Simons

Un peu d'humour pour débuter la seconde mi-temps

À la mi-temps, les supporters se montrent critiques envers les attaquants néerlandais

Reijnders, en revanche, se montre

Le jeune Xavi Simons ne convainc pas

L'égalisation méritée pour les Pays-Bas

La frappe de Gakpo est déviée et trompe Szczesny

On assiste à un très beau match, agréable à regarder

La Pologne douche les Pays-Bas

Ho la grosse occasion pour Reijnders

Les Pays-Bas dominent clairement en ce début de match

Quelle ambiance dans les rues d'Hanovre !

Il n'y a pas à dire, nos amis néerlandais savent mettre l'ambiance. 

Bonjour à tous !

Nous allons vivre le premier match de cette journée ensemble. 

L'avant match 

Avant d'affronter les Bleus la semaine prochaine, les Pays-Bas entament leur campagne de l'Euro-2024 avec optimisme et appétit dimanche à Hambourg, contre la Pologne affaiblie par la blessure de Robert Lewandowski.

Les deux sélections jouent un match déjà décisif dans un groupe D où l'équipe de France, qui affrontera lundi soir l'Autriche, part ultra favorite.
La rencontre s'annonce équilibrée entre deux nations qui ont gagné chacune leurs deux matches de préparation, les Pays-Bas contre le Canada (4-0) et l'Islande (4-0), la Pologne contre l'Ukraine (3-1) et la Turquie (2-1).

"Nos victoires nous ont donné confiance avant de nous confronter à une bonne équipe de Pologne", a déclaré le sélectionneur batave Ronald Koeman. Il a estimé que son équipe "faisait partie des nations fortes" sur cet Euro, où aucun "grand favori" ne se détache selon lui.

"Nous sommes difficiles à battre", a aussi prévenu le défenseur néerlandais Matthijs de Ligt, soulignant que comme souvent, la sélection comptait dans ses rangs des joueurs faisant partie des meilleurs clubs européens.

"On sent la faim de résultats, la faim de gagner quelque chose" 36 ans après le seul titre des "Oranjes", à l'Euro-1988, a complété l'arrière-droit de l'Inter Milan, Denzel Dumfries.

"Nous avons maintenant plusieurs joueurs qui ont déjà l'expérience nécessaire en phase finale, nous devons donc utiliser cela à notre avantage", a ajouté Dumfries, salué par les commentateurs pour son leadership dans l'équipe."Le plus important lors d'un Euro ou d'une Coupe du monde, c'est de rester calme", a-t-il demandé. Selon lui, "la dynamique du groupe est très bonne grâce à des gars qui ont vécu beaucoup de choses pour encadrer les joueurs qui vivent cette expérience pour la première fois".

Réservoir de talents

Car les Pays-Bas ne manquent pas de pépites qui poussent fort pour s'imposer, à l'image de Jeremie Frimpong, 23 ans, qui justement menace le statut de titulaire de Dumfries après sa saison spectaculaire avec le Bayer Leverkusen (vainqueur du championnat et de la Coupe d'Allemagne). Xavi Simons, qui a réalisé un exercice convaincant avec Leipzig, prêté par le PSG, doit encore convaincre pleinement le sélectionneur mais à 21 ans, son talent est évident.

Le milieu de l'AC Milan Tijjani Reijnders ou encore Ian Maatsen, finaliste de Ligue des champions avec Dortmund, affichent aussi de belles promesses. Les fans composant "l'Oranje Legioen", qui vont déambuler par dizaines de milliers dès samedi dans les rues de Hambourg, peuvent donc en partie se consoler des forfaits majeurs des milieux Frenkie de Jong et Teun Koopmeiners.

En face, la Pologne est aussi minée par les blessures mais n'a sans doute pas le même réservoir de talents. Ainsi la blessure à une cuisse lors du dernier match de préparation de Robert Lewandowski, l'un des meilleurs attaquants au monde, continue d'alimenter les chroniques des médias polonais. La superstar de 35 ans ratera le match de dimanche et n'est pas encore assurée de pouvoir disputer le second match.

"Il y a des progrès en ce qui concerne Robert. Le personnel médical fait tout ce qu'il peut pour le remettre sur pied", a assuré vendredi le sélectionneur Michal Probierz. Celui-ci a néanmoins prévenu que la Pologne devait promouvoir une "nouvelle génération" de joueurs et s'habituer à jouer sans Lewandowski à l'avenir.

Le coach a aussi dû, toute la semaine, livrer le bulletin santé d'autres joueurs incertains, comme le défenseur Pawel Dawidowicz, 29 ans, et Karol Swiderski, 27 ans, blessé à une cheville en célébrant un but en amical contre la Turquie. L'attaquant du Hellas Verone pourrait jouer contre les Pays-Bas.

Autre forfait, mais pour l'intégralité de la compétition, celui d'Arkadiusz Milik, attaquant de la Juventus. "Nous respectons l'équipe néerlandaise et ses résultats", a dit Michal Probierz. "Mais nous n'avons pas peur."
 

À lire aussi

Sélectionné pour vous