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Un objet à l'honneur ce mardi: la tirelire de l'opération Pièces Rouges. L'opération 2025 est lancée aujourd'hui au profit du Télévie. Elle a déjà permis de récolter plus de 2 millions d'euros en faveur de la recherche. De nombreuses écoles notamment y participent.
Qui dit opération Pièces Rouges dit bien sûr Bérénice. L'animatrice emblématique de Bel RTL, qui a lancé ce concept avec notre collègue Géraldine Gauthier, a évoqué dans le RTL info 13h, l'accueil et l'engouement que suscite encore cette opération.
"Ce qui est génial, c'est que c'est la 6e saison que nous lançons aujourd'hui. Ce qui est génial, c'est que j'ai l'impression que ça devient une habitude chez les enfants et dans les écoles où nous allons, parce qu'on revient dans des écoles dans lesquelles nous sommes déjà venus, et c'est tout à fait normal et logique. On n'osait même pas imaginer ça la première année, quand on a lancé l'opération Pièces Rouges. Nous avons déjà fait trois écoles, on est dans la quatrième, et on a déjà récolté 175 kg", se réjouit Bérénice.
Cette opération amène aussi des rencontres (faites notamment avec Léon le Bouchon) et des moments parfois émouvants.
"Quand j'ai commencé cette opération, je voulais uniquement faire une chose: récolter de l'argent, parce qu'on sait que c'est le nerf de la guerre, et que les chercheurs en ont terriblement besoin. Je voulais juste faire ça, et dès la première récolte, des gens sont venus en disant 'Vous le faites pour moi parce que je suis atteinte d'un cancer'. Il y a des instituteurs, des institutrices, des enfants, des élèves... Je voulais récolter que de l'argent, et on récolte beaucoup plus. J'essaye de garder le sourire, mais l'émotion est par moments vraiment trop forte", confie Bérénice.
Dans cette opération, on a tous une bonne raison de donner, et au-delà de l'objectif chiffré, ça permet aussi de sensibiliser les plus jeunes au métier de la recherche, par exemple.
"Bien sûr, dans les écoles, on a des petites chansons, on a des spectacles, on a des défis, on a eu des chansons, des chanteurs en herbe. Alors qu'ils veulent devenir chanteurs plus grands, mais en deuxième maternelle, il y a eu plusieurs petits élèves qui nous ont dit 'Moi, je veux devenir chercheur. Moi, je veux devenir chercheuse'. Et ça, c'est génial. On leur apprend le partage en donnant les petites pièces pour la recherche. Mais en plus, si on peut susciter des vocations, on a tout gagné", conclut Bérénice.