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L'International testing agency (ITA) a fait état vendredi d'un deuxième cas de dopage dans le judo avec le contrôle positif du judoka afghan Mohammad Samin Faizad lors des 16e de finale des JO de Paris.
Le judoka fait partie de l'équipe de six Afghans invités par le CIO à Paris, et s'entraînait dans son pays. Il a été contrôlé au stanozolol, un stéroïde anabolisant, qui fait partie des substances interdites par le code mondial antidopage, selon un communiqué de l'ITA publié vendredi.
Ce judoka de 22 ans, qui concourt dans la catégorie -81kg a été contrôlé lors des 16e de finale le 30 juillet dernier, qu'il a perdu, et le résultat a été transmis le 1er août. Il a été suspendu depuis et peut contester cette suspension provisoire devant le tribunal arbitral du sport. Le CIO a choisi la délégation afghane sans consulter Kaboul. Faizad, classé 446e mondial, a gagné son billet pour les JO lors d'un tournoi à Kaboul l'opposant à une centaine de concurrents.
Le premier cas de dopage annoncé aux JO de Paris a été aussi un cas dans le judo, celui de l'Irakien Sajjad Sehen, testé positif à une substance anabolisante interdite.
