L'Iran a condamné l'attaque israélienne dans laquelle le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a été tué en la qualifiant de "crime de guerre". "Les attaques sionistes (israéliennes, NDLR) constituent un crime de guerre clair et la réaction de l'Occident est un signe de faiblesse", a affirmé le président iranien Massoud Pezeshkian, selon le site internet de son cabinet.
L'assassinat du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans une frappe de l'armée israélienne près de Beyrouth est "une mesure de justice pour ses nombreuses victimes, dont des milliers de civils américains, israéliens et libanais", a déclaré samedi Joe Biden.
La Russie et la Chine ont condamné samedi l'assassinat du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué vendredi dans une frappe israélienne dans la banlieue de Beyrouth.
Encouragés par le retour des travaillistes à Downing Street, plusieurs centaines de Britanniques ont manifesté samedi à Londres pour réclamer le retour du Royaume-Uni au sein de l'Union européenne, près de cinq ans après le "désastre monumental" du Brexit.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a décrété samedi cinq jours de deuil public, après la mort du chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, tué dans une frappe israélienne la veille à Beyrouth.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé Israël de préparer un "génocide" au Liban. Il a dénoncé des "attaques brutales" visant le Hezbollah, qui ont coûté la vie à des centaines de civils.
Entre le 16 et le 27 septembre, 1.030 personnes, parmi lesquelles 87 enfants et 56 femmes, ont perdu la vie lors des attaques israéliennes au Liban, a indiqué samedi le ministère de la Santé libanais. Environ 6.300 personnes ont été blessées.
Le chef du Hezbollah a été éliminé par l'armée israélienne. Va-t-on vers un embrasement dans le Moyen-orient ? L'Iran se dit prête à faire payer l'état hébreu.