Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées dimanche par des frappes israéliennes dans la bande de Gaza, ravagée par plus d'un an de guerre entre le Hamas et Israël, qui a mené de nouveaux raids aériens meurtriers au Liban, notamment sur le centre de Beyrouth.
L'armée israélienne a affirmé vendredi avoir frappé plus de 2.000 sites, notamment des infrastructures et des armements, dans le sud du Liban depuis le début de son offensive au sol lundi contre le mouvement islamiste Hezbollah, soutenu par l'Iran.
L'attaque de près de 200 missiles lancés hier soir par l'Iran contre Israël n'a tué qu'une personne et en a blessé deux autres. Une grosse opération pour finalement, peu de victimes. Comment l'expliquer ?
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a averti mardi soir que l'Iran avait "commis une grave erreur" en lançant une attaque de missiles contre Israël. Selon lui, la République islamique devra "en payer le prix", Israël étant résolu à faire "rendre des comptes à ses ennemis".
L'Iran a lancé une offensive majeure contre Israël en tirant près de 180 missiles, une riposte directe aux assassinats de responsables du Hamas et du Hezbollah. Cet acte marque une escalade significative dans les tensions régionales et pose la question d'une déflagration plus large au Moyen-Orient. Réponses avec Raoul Delcorde, ambassadeur honoraire de Belgique et spécialiste des relations internationales.
Un journaliste de guerre belge, Robin Ramaekers, s'est rendu sur le lieu de l'attaque du chef du Hezbollah libanais, dans la banlieue sud de Beyrouth. Il est le premier journaliste à s'être rendu sur place. De son propre aveu, il n'a jamais connu cela de sa carrière, une destruction totale et une population aux abois.
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