"Ce n'est pas ainsi que l'on s'adresse à ses proches alliés, et je considère toujours le Danemark et les États-Unis comme des proches alliés", a expliqué le ministre des Affaires Etrangères du Danemark.
Alors que son vice-président JD Vance se rend au Groenland, Trump a réitéré sa volonté de prendre possession de l'île. Il a exprimé le "besoin" de contrôler l'île danoise pour des questions de "sécurité internationale".
L'opposition de centre droit a remporté les élections législatives au Groenland, un scrutin marqué par une poussée des nationalistes qui réclament l'accession rapide à l'indépendance de l'île arctique convoitée par Donald Trump.
Le président américain Donald Trump a affirmé que les habitants du Groenland veulent faire partie des États-Unis. Il est convaincu que l'île deviendra membre de son pays, et n'exclut pas une éventuelle coercition économique, voire militaire.
L'homme politique danois, Anders Vistisen, s'est directement adressé au président américain Donald Trump en indiquant que "le Groenland n'est pas à vendre".
Lors du Forum économique mondial de Davos, le Premier ministre belge Alexander De Croo a appelé l’Europe à adopter une attitude plus résolue face aux projets du président américain Donald Trump. Il estime qu’un renforcement économique et politique du continent est nécessaire pour répondre aux défis mondiaux.
Depuis quelques jours, Donald Trump parle de ses intentions d'annexion concernant le Groenland. Le Danemark, qui possède ce territoire depuis l'époque des Vikings, oppose une fin de non-recevoir. Mais les Groenlandais sont plus nuancés. Leur objectif serait plutôt l'indépendance et pourquoi pas sous le parapluie américain.
Donald Trump suscite la polémique en évoquant l’annexion du Groenland, un territoire autonome du Danemark, riche en ressources stratégiques, dont la majorité des habitants refuse catégoriquement toute idée de vente ou de rattachement aux États-Unis.
Depuis quelques jours, Donald Trump n'exclu pas de reprendre le contrôle du canal de Panama et d'obtenir le Groenland par la force. Faut-il prendre le futur président au sérieux ?
Donald Trump a répété mardi ses ambitions d'annexer le canal de Panama et le Groenland, par la force si besoin, lors d'une conférence de presse décousue et provocatrice au lendemain de la certification de sa victoire à la présidentielle par le Congrès.
Donald Trump, le futur président des Etats-Unis qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a créé la surprise en publiant sur son réseau social un étonnant et inquiétant message de Noël. Concernant sa future politique internationale, il y assume ses menaces envers le Panama, promet de s'emparer du Groenland et fait du chantage à destination du Canada.
Prise de contrôle américaine du canal de Panama, appels à acheter le Groenland ou encore boutades sur une annexion du Canada: Donald Trump enchaîne les déclarations provocantes et le monde se demande s'il faut le prendre au sérieux.
La détention du défenseur des baleines Paul Watson, arrêté fin juillet au Groenland en raison d'une demande d'extradition du Japon, a été prolongée jusqu'au 18 décembre, a annoncé lundi la police groenlandaise.
La justice groenlandaise se prononce mercredi pour la cinquième fois depuis mi-août sur le maintien en détention du militant écologiste Paul Watson, dans l'attente de la décision du gouvernement danois sur la demande d'extradition du Japon liée à son combat pour les baleines.