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Depuis un peu plus d'un an, le Duc de Boulogne mène un combat acharné contre les "influvoleurs", ces personnalités de télé-réalité et autres influenceurs qui sont accusés d'arnaquer leur audience. On le sait, le nom en haut de la liste de B2O est celui de Magali Berdah, l'agent de tous ces influenceurs, la papesse de la télé-réalité française.
L'affaire a pris des proportions énormes, de nombreux internautes se sont joints au mouvement de Booba et certains ont dérapé. La directrice de Shauna Events a été la cible de nombreuses menaces de mort. Un climat de haine qui a envoyé huit personnes en garde à vue.
Ce vendredi, tout a pris un nouveau tournant avec les révélations de la femme de 41 ans. Sur Twitter, elle publie une vidéo dans laquelle elle affirme dire "la vérité avant qu'on ne la déforme". Face caméra, elle annonce être mise en examen pour diffamation publique, après la plainte du rappeur. "C’est une procédure pour me faire taire", lance-t-elle. Selon elle, l'interprète de Boulbi aurait "payé 16.000 euros de consignation pour lancer la procédure". Elle assure aussi que dans les affaires de diffamation publique, la mise en examen est automatique.
Elle lit ensuite une ancienne publication, dans laquelle elle implorait le rappeur d'arrêter ses attaques, qui selon elle serait le point de départ de cette mise en examen. Elle conclut: "Je suis mise en examen parce que j'ai supplié un homme de me laisser tranquille."
Sur les réseaux, Magali Berdah n'a pas convaincu grand monde, ça sera désormais à la justice de trancher. Pour l'instant, son grand rival s'est contenté de relayer l'information du Parisien concernant la plainte sans faire plus de vague. Pas de doute, cette histoire est loin d'être terminée.