Accueil Actu

Louise Rosoux, une Namuroise de 18 ans à la COP 25 : elle raconte son action avec Greta Thunberg (vidéo)

En l’absence d’Adélaïde Charlier, c’est Louise Rosoux, une jeune Namuroise de 18 ans, qui a pris la direction de Madrid pour rejoindre la COP 25. Elle y représente le mouvement Youth for Climate.

Grâce aux conférences et actions auxquelles la jeune fille participe, elle mesure encore plus les enjeux climatiques. Elle aura également un temps de parole ce mercredi avec d’autres jeunes et va rencontrer des politiciens, et notamment la ministre fédérale de l'Énergie, de l'Environnement et du Développement durable, Marie-Christine Marghem.

Depuis quelques jours, Louise a donc pris part à plusieurs actions, et notamment avec Greta Thunberg, comme elle l’a raconté.

"On l’a vue à son arrivée. On a vu une foule de journalistes arriver et puis on a vu Greta. On était en train de faire un die-in, parce qu’en fait, il y a des conférences mais à côté, il y a plusieurs jeunes qui organisent des actions qui visent à faire plus ‘waw’ que les conférences, donc on est un peu plus passifs. Là, on faisait die-in, donc c’est quand on est assis en silence pour réclamer l’urgence climatique parce qu’on trouve que parfois, il y a des messages qui passent mieux en silence. Et donc elle est arrivée été s’est assise avec nous. Moi, ce n’était pas la première fois que je la voyais et que je faisais une action avec elle mais j’ai trouvé ça très impressionnant parce que quand elle est arrivée, il y a vraiment toute la sécurité qui s’est mise, tout a pris une autre tournure alors nous d’habitude quand on fait des événements, y’a pas du tout de sécurité. On l’a aussi vu lors de la marche le soir à Madrid : elle a fait un discours à la fin de la marche et c’était chouette aussi de la voir à ce moment-là."

À lire aussi

Sélectionné pour vous

"Apprendre du passé et vivre dans le présent": 20 ans après le tsunami, l'incroyable résilience des Thaïlandais

Le 26 décembre 2004, un terrible tsunami frappe la Thaïlande. Plus de 220.000 personnes, dont 11 Belges, y ont perdu la vie. Si le Tsunami a été moins meurtrier qu’en Indonésie, la Thaïlande a surtout marqué les esprits, car la moitié des victimes étaient des touristes, et nombre d’entre eux n’ont jamais pu être identifié par leurs familles. 20 ans plus tard, sur place, que reste-t-il du Tsunami de 2004 ?