Il y a près de cinq semaines, la Belgique accueillait le pape. Le Souverain Pontife avait suscité la polémique chez nous avec ses propos sur l’avortement et le statut des femmes.
Conséquence: aujourd’hui, plusieurs centaines de Belges souhaitent se faire débaptiser. Pourquoi prendre une telle décision ? Que représente la démarche aux yeux de l’Église ?
Plus de 520 personnes demandent à être débaptisées après les propos controversés du pape François lors de sa visite en Belgique, dénonçant sa position sur l'avortement et les femmes.
Le Premier ministre Alexander De Croo a réagi aux propos du pape François sur l'avortement lors de sa visite en Belgique, qualifiant ces déclarations d'"inacceptables".
Le pape François était à Bruxelles ce samedi matin. Le souverain pontife a rencontré des personnes précarisées à l'église de Saint-Gilles, quelques minutes avant de prendre la direction de la basilique de Koekelberg où il doit rencontrer les responsables ecclésiastiques de l'église de Belgique.
À Louvain-la-Neuve, on se prépare à recevoir le Pape samedi après-midi. Il va rencontrer à l'Aula Magna des représentants de l'UCLouvain devant un millier d'invités. La salle de conférence se met donc sur son 31. Répétition générale et réglage des moindres détails.
Le pape François a demandé pardon aux victimes d'abus sexuels au sein de l'église. Il a qualifié ces actes de "honte", des mots jamais utilisés auparavant. Mais comment réagissent les personnes concernées ?
Tommy Scholtès, porte-parole des évêques de Belgique, a réagi au discours du Pape François. Selon lui, "il va demander pardon" aux victimes de violences sexuelles au sein de l'Église.