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"Jusqu'à 2.000 personnes par jour": le village olympique belge se prépare aux festivités des JO 2024 de Paris

Jean-Michel Saive, le président du Comité Olympique et Interfédéral belge, a orchestré la création du village olympique belge à Paris. Dans ce quartier général, les athlètes belges seront logés, nourrit et blanchis tout au long des Jeux olympiques. 

Les Jeux olympiques 2024 approchent à grands pas. Pour l'occasion, Jean-Michel Saive, Président du Comité Olympique Belge et meilleur pongiste au monde, a expliqué la mise en place et l'organisation du village des Jeux olympiques 2024 à Paris.

Pour l'instant, tout s'annonce bien : "C'est mieux que les années précédentes (...). On est à 123 qualifiés pour le moment. On estime, et on espère avoir une délégation entre 150 et 160, donc c'est chouette", affirme Jean-Michel Saive.

C'est mieux que les années précédentes, on est à 123 qualifiés

L'une de ses plus grosses responsabilités a été d'acter le quartier général des Belges, autrement dit l'endroit où tout le monde pourra venir et côtoyer les sportifs. "Ça a été le premier conseil d'administration que j'ai présidé, et il fallait prendre la décision de la location de la Belgium House. On avait déjà eu une maison belge aux différentes éditions. Ça avait cartonné à Londres. La BBC nous avait donné le prix de la meilleure house du comité olympique", explique-t-il fièrement.

Finalement, les Belges déposeront leurs valises en plein cœur de Paris, tout près de l'Arc de triomphe. "On va pouvoir accueillir jusqu'à deux mille personnes par jour", ajoute-t-il. Vous ne risquez cependant pas de croiser les athlètes la veille de la compétition, mais "il est prévu de les mettre à l'honneur et de célébrer après leur compétition".

Jean-Michel se rendra à Paris la veille du lancement des jeux, le 23 ou le 24 juillet, mais ne résidera pas avec les sportifs : "Le village olympique, c'est vraiment pour les athlètes. Il y a l'hôtel réservé aux membres du comité olympique international, et puis un hôtel pour les présidents et les secrétaires généraux". "Je dois bien avouer que ça titille un peu, mais je ne suis pas le chef de mission et donc chacun doit jouer son rôle. On est présents sans mettre de pression supplémentaire sur les athlètes", a-t-il conclu. 

 

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