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Remco Evenepoel reconnaît un "lien fort" avec l'Espagne avant de débuter la Vuelta

Avant de commencer son deuxième Tour d'Espagne, Remco Evenepoel reconnaît une connexion particulière avec l'Espagne, où il a déjà remporté trois fois la Clasica San Sebastian et la dernière édition de la Vuelta. "D'une manière ou d'une autre, j'ai un lien fort avec ce pays".

Evenepoel a acheté l'année dernière un appartement dans la région d'Alicante et y est "allé très souvent cet hiver" a-t-il indiqué. "Je peux bien m'y entraîner. En Espagne, on fait aussi beaucoup de stages à haute altitude. Les montées et les descentes me conviennent parfaitement. C'est un peu brutal, mais ça donne envie de courir. Les fans sont toujours contents de me voir, et sont fougueux. Est-ce que je parle espagnol? Un peu, je peux faire de petites phrases".

Toujours présentes en Espagne, les fortes chaleurs pourraient influencer la cours. Le mercure dépasse souvent les 30°C à Barcelone ces derniers jours. "Je peux m'adapter" répond le Brabançon. "Je m'entraîne souvent dans ces conditions, mais bien sûr c'est désagréable. Il ne devrait pas faire trop chaud sur l'entièreté de la course, heureusement".

Immédiatement après avoir remporté le titre de champion du monde de contre-la-montre à Glasgow, Remco a mis le cap vers l'Espagne pour se préparer à la Vuelta: "Je me suis entraîné dans la chaleur, mais surtout dans les longues ascensions. Nous avons reconnu beaucoup d'étapes, notamment celles du Tourmalet, de l'Angliru et de la Cruz de Linares (respectivement les 13, 17 et 18e étapes, ndlr), qui pourraient être décisives. L'année dernière, nous n'avions pas reconnu le parcours, et cette année je vois ça comme un gros avantage, je sais ce qui m'attend. Après les Mondiaux, j'ai essayé de me préparer de la meilleure des manières pour cette Vuelta, et j'ai aussi perdu un peu de poids".

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