Partager:
La qualité de l'eau de la Seine aura donc fait polémique du début jusqu'à la fin de ces Jeux olympiques.
Les Jeux olympiques de Paris se sont bien déroulés dans l'ensemble, mais une ombre restera jusqu'au bout sur le bilan des organisateurs : la qualité de l'eau de la Seine.
Les épreuves de nage en eau libre et de triathlon s'y sont déroulées et des athlètes ont présenté des maladies par la suite. Sans qu'un lien ne puisse être officiellement (pour l'instant) établi avec la qualité de l'eau.
Ce samedi, l'Allemande Leonie Beck, qui a participé au 10km de nage en eau libre, a déclaré sur ses réseaux sociaux qu'elle a subit quelques dérangements après son épreuve. "J’ai vomi neuf fois hier et j’ai eu la diarrhée. La qualité de la Seine est validée", explique-t-elle avec ironie.
Le journal allemand Der Spiegel rapporte que Beck n'est pas la seule dans ce cas : "Deux nageuses allemandes en eau libre ont été traitées pour des nausées, des vomissements et des diarrhées. Depuis samedi matin, leur état s’est nettement amélioré. Un autre nageur, présentant des symptômes similaires, est actuellement traité par les médecins de l’équipe allemande".
La polémique n'a pas fini de faire parler d'elle.