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"Pas de preuve d'un acte criminel" qui aurait causé la mort de Baldock, indique la police

La police grecque a indiqué jeudi n'avoir trouvé aucune preuve d'un acte criminel qui aurait causé la mort de George Baldock. Le latéral droit international grec du Panathinaïkos a été retrouvé mort dans sa piscine à son domicile de Glyfada, dans la banlieue sud d'Athènes, mercredi.

Le ministère grec de la Protection des citoyens a publié jeudi un communiqué dans lequel il explique qu'une "enquête préliminaire a été menée. [...] Un médecin légiste a été appelé sur les lieux et a examiné le corps, qui ne présente aucune trace d'acte criminel. En outre, la police n'a pas trouvé de traces de cambriolage dans la maison".

Jeudi, la télévision publique grecque ERT a affirmé que le joueur de 31 ans était mort noyé dans sa piscine, selon les conclusions de l'autopsie, précisant que les résultats des analyses toxicologiques étaient toujours attendus.

Né en Angleterre, Baldock possédait la double nationalité grecque et anglaise. Il avait signé en mai dernier un contrat de trois ans avec le Panathinaïkos. D'origine grecque par l'un de ses grand-parents, il avait rejoint l'équipe nationale grecque en 2022 et comptait douze sélections.

La fédération anglaise de football (FA) a annoncé qu'une minute de silence serait observée avant le coup d'envoi d'Angleterre-Grèce jeudi soir à Wembley, en Ligue des Nations. Les joueurs des deux équipes porteront un brassard noir.

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