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La dernière panne chez Microsoft, mardi, a été provoquée par une cyberattaque visant sa plateforme Azure, a déclaré le géant de la technologie américain mercredi. L'attaque, de type déni de service (DDoS), consiste à submerger un site ou un serveur pour entraîner son dysfonctionnement.
Le système de défense de Microsoft a été activé par l'attaque, mais cela n'aurait fait qu'amplifier le problème dans un premier temps, explique l'entreprise.
Mardi, certains services disponibles sur les plateformes Office et les clouds de Microsoft ont cessé de fonctionner. Des applications très plébiscitées telles que Outlook, Word, Excel et Azure ont été touchées.
Les problèmes ont entretemps été résolus.