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Bart De Wever tente toujours de former un gouvernement fédéral. Les négociations pures et dures n’ont pas encore commencé. Des négociations qui risquent d’être perturbées par les élections communales qui approchent à grands pas. Elles sont dans moins de deux mois.
Les vacances terminent doucement, mais le monde politique se cherche toujours un gouvernement fédéral. Pour le moment, les négociations sont font toujours à cinq, c'est la coalition "Arizona".
Côté flamand, il y a la N-VA, les nationalistes, le CD&V, les sociochrétiens, et Vooruit, les socialistes.
Côté francophone, le MR et Les Engagés. L'homme qui mène les discussions, c'est bien sûr le président de la N-VA. Pour cela, Bart De Wever a écrit une note, et en tant que formateur, il l'a appelée la "Super note". À l'intérieur, il y a les réformes socio-économiques, sur l'emploi, la fiscalité...
Mais cette "Super note" n'a pas plu aux négociateurs, Bart De Wever a donc écrit la "Super note 2". Mais jugée trop teintée de nationalisme flamand, cette dernière n'a pas non conquis les autres membres de la coalition.
Le patron de la N-VA a finalement écrit la super note 3. Serait-ce la bonne? "Il y a effectivement des avancées qui sont satisfaisantes, mais il reste encore d'autres points pour lesquels l'insatisfaction reste présente", a commenté Maxime Prévot, le chef des Engagés. "Donc, on va continuer de s'inscrire dans un schéma constructif."
En résumé, le gouvernement fédéral n'est pas encore abouti en Flandre. À Bruxelles, non plus. Pire encore: le majorité au sein des partis flamands.
Le gouvernement wallon, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la communauté germanophone, sont eux, au point.
Les élections communales
Georges-Louis Bouchez veut mettre la main sur la ville de Mons et la débarrasser de "ses barakis". "Je veux mettre toute mon énergie, toute ma volonté au service des montoises et des montois", lâche-t-il dans une vidéo diffusée sur internet.
L'actuel bourgmestre de Mons, le socialiste Nicolas Martin, a bien sûr réagi. T-shirt, clin d'œil sur les réseaux sociaux et message personnel pour Georges-Louis Bouchez: "C'est un Mini-Trump".
Bien sûr, Georges-Louis Bouchez a réagi à la réaction. Il a publié la photo d'un homme saoul allongé dans une rue montoise, sans doute pour lui, un des fameux baraquis. Et il a qualifié le bourgmestre socialiste de "Trump de Lidl". Une belle ambiance à Mons....
