L’ex-animatrice emblématique de TF1 tente sa chance à l’Eurovision pour représenter son pays natal, la Suède. Un retour inattendu sur le devant de la scène musicale.
Les électeurs de la ville suisse de Bâle ont approuvé dimanche, à une écrasante majorité, le financement pour près de 40 millions d'euros de l'accueil dans leur ville du spectacle télévisé de l'Eurovision, qui promet donc, pour son édition 2025, de se dérouler avec toute sa pompe habituelle.
Un référendum inédit se tiendra ce dimanche à Bâle. Les habitants du canton suisse devront se prononcer sur le maintien ou non de l'organisation du concours Eurovision de la chanson 2025. Un parti conservateur s'oppose à l'événement, jugé trop coûteux et trop "pro-LGBTQIA+".
Le canton de Bâle-Ville, choisi pour accueillir l’Eurovision 2025 après la victoire du chanteur Nemo, va organiser un référendum en novembre suite à l’opposition de l’Union démocratique fédérale (UDF). Ce parti conservateur dénonce l’événement comme un vecteur de propagande.
Barbara Pravi est de retour avec un nouvel album "La Pieva" dans lequel elle rend hommage à ses racines. Trois ans après avoir ému le public de l'Eurovision avec "Voilà", la chanteuse revient sur cette expérience et partage son approche sincère et authentique de la musique.
Outre la performance vocale des artistes, l'Eurovision, c'est aussi une flopée de tenues vestimentaires en tout genre, faisant de l'évenement musical un véritable défilé de mode avant d'être un concours de chant. Des looks qui, s'ils sont souvent extravagants, frisant parfois avec le kitsch, ne laissent jamais indifférents. Ce qui amène certains observateurs à se poser la question, n'en fait-on pas un peu trop ?
Nemo a remporté l'Eurovision avec "The Code", une chanson très personnelle sur le fait d'être non binaire, un sacre qui clôt un concours accaparé par les tensions autour de la participation israélienne, en pleine guerre dans la bande de Gaza.