Au Proche-Orient, le 23 mars dernier, des secouristes et travailleurs humanitaires avaient été tués par des tirs israéliens, dans le sud de la bande de Gaza. L'état hébreu avait alors reconnu avoir tiré sur des ambulances parce qu'elle trouvait ces véhicules "suspects". Aujourd'hui, après autopsie, le Croissant-rouge palestinien estime qu'il y a eu clairement "intention de tuer" et demande l'ouverture d'une enquête internationale
Plus de cinquante ex-otages israéliens de Gaza ont appelé le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, à conclure un accord de cessez-le-feu "complet" avec le Hamas pour permettre la libération du reste des captifs.
Le Hamas a diffusé ce vendredi une vidéo montrant un otage israélien vivant, retenu à Gaza depuis l'attaque du 7 octobre 2023 sur le sud d'Israël, s'adressant à sa famille en s'identifiant.
L'impasse actuelle compromet la poursuite de la trêve entrée en vigueur le 19 janvier après 15 mois d'une guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque menée le 7 octobre 2023 par le Hamas dans le sud d'Israël à partir du territoire palestinien voisin.
Israël a retardé la libération de 602 prisonniers palestiniens prévue en échange de six otages relâchés. Ce report est dénoncé par le Hamas comme une "violation flagrante" de l'accord.
Le Hamas a libéré six otages israéliens dans la bande de Gaza lors d’une mise en scène publique, dénoncée comme attentatoire à leur dignité, tandis qu’Israël doit relâcher environ 600 prisonniers palestiniens en échange.
Le corps restitué vendredi par le Hamas aux autorités israéliennes a été identifié comme celui de Shiri Bibas, otage tuée pendant sa captivité avec ses deux fils Ariel et Kfir âgés de 4 ans et huit mois et demi lors de leur capture, le 7 octobre 2023, a indiqué samedi sa famille.
Le Hamas s'est dit prêt mercredi à libérer en une seule fois tous les otages encore captifs dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve entre le mouvement islamiste palestinien et Israël qui doit commencer début mars.
"Quand j'étais à Gaza, je vivais dans la peur constante, j'avais peur pour ma vie et ma sécurité", a déclaré Keith Siegel, un Israélo-Américain libéré le 1er février, dans une déclaration vidéo adressée au président américain, Donald Trump.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé mardi de reprendre "des combats intenses" dans la bande de Gaza "jusqu'à ce que le Hamas soit définitivement vaincu" s'il ne libère pas "nos otages" d'ici à samedi.
Le président américain Donald Trump a affirmé que les Palestiniens n'auraient pas le droit au retour dans le cadre de son plan pour Gaza, dans un extrait d'interview dévoilé lundi.
La Défense civile de Gaza a affirmé que les forces israéliennes avaient abattu trois civils dimanche, l'armée disant avoir tiré des "coups de semonce" sur des Palestiniens qui s'étaient approchés de ses troupes dans le territoire. Les faits se sont produits dans la ville de Gaza (nord) dans le contexte d'un fragile cessez-le-feu entre le Hamas et Israël en vigueur depuis le 19 janvier.
Quelque 300 personnes ont défilé dimanche après-midi dans les rues de Bruxelles en soutien au peuple palestinien. Selon les manifestants, le cessez-le-feu actuel dans la bande de Gaza n'offre que peu d'espoir aux Palestiniens, toujours confrontés à l'occupation israélienne.
Pour la première fois depuis l'accord de cessez-le-feu, l'état de santé des otages inquiète. C'est le cas des trois israéliens relâchés ce samedi. Les autorités évoquent même pour l'un d'entre eux un état de détresse nutritionnelle. Cette situation a eu pour effet, sans remettre en question l'accord, de raviver les tensions entre Israël et le Hamas.
Les Services pénitentiaires israéliens ont confirmé samedi avoir libéré 183 Palestiniens, partis vers Jérusalem-Est, la Cisjordanie occupée et Gaza lors du cinquième échange de prisonniers dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu entre le Hamas et Israël.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé avoir ordonné à l'armée de préparer un plan permettant aux habitants de Gaza qui le souhaitent de quitter le territoire. Une initiative qui fait suite aux déclarations controversées de Donald Trump sur un éventuel déplacement de la population gazaouie.
L'armée israélienne a annoncé dimanche avoir détruit "plusieurs bâtiments" à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie occupée, provoquant d'immenses fumées noires au dessus de la ville.
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