Alors que des discussions ont récemment eu lieu entre la Russie et les États-Unis à Riyad, un négociateur russe estime qu’un cessez-le-feu global en Ukraine reste hors de portée cette année.
L'ambassadrice de Belgique auprès de l'OTAN, Ariadne Petridis, estime qu'il faut se méfier d'éventuelles attaques qui prendraient pour cible nos systèmes de transport, de communication, d'approvisionnement en carburant ou encore d'eau potable, et qu'il faut donc prendre des mesures pour mieux les protéger. À quoi pourrait-on être exposé et surtout, y sommes-nous vraiment préparés ?
La Belgique pourrait un jour participer à une mission de maintien de la paix en Ukraine. Mais avec quels moyens ? L'armée belge compte aujourd'hui 25.000 militaires actifs, mais sa force de frappe est forcément limitée au niveau mondial.
Un document secret russe, révélé par le Washington Post, affirme qu’aucune paix en Ukraine ne sera possible avant 2026. Moscou exige la disparition du gouvernement ukrainien et la reconnaissance des territoires occupés.
Alors que des pourparlers ont toujours lieu pour tenter de parvenir à un cessez-le-feu de 30 jours entre la Russie et l'Ukraine, Vladimir Poutine, lui, motive ses armées.