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La 12e étape du Tour d'Italie, jeudi, emmènera le peloton sur 193 kilomètres de Martinsicuro à Fano. Présentée comme "l'étape des murs", avec de nombreuses ascensions courtes et nerveuses, elle devrait convenir aux spécialistes des classiques. Quinten Hermans (Alpecin-Deceuninck) a notamment montré son intérêt pour "cette très belle étape", avant le départ.
"Si je devais tracer un parcours moi-même, il serait ainsi", a expliqué le puncheur de 28 ans. "Mais le niveau est très élevé, évidemment. Cela reste très difficile de terminer devant."
Hermans s'était notamment distingué en remportant la 3e étape du Tour du Pays basque cette année, dans un sprint massif mais difficile. Il mise cependant sur une échappée, pour la journée de jeudi. "Mais je pense aussi qu'il faudra se battre longtemps pour bâtir le bon groupe. Il faut avoir un peu de chance."
La 12e étape compte quatre ascensions de 4e catégorie le long de son parcours. La dernière montée, non catégorisée, sera celle du Monte Giove (2,6 km à 5%) avec un passage à 20% à moins de 10 kilomètres du terme.