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Violentes bagarres en tribunes, Messi qui refuse de jouer: le choc Brésil-Argentine tourne au fiasco

Le "superclasico" entre le Brésil et l'Argentine a débuté avec près de trente minutes de retard mardi, en raison d'affrontements entre supporters dans les tribunes du stade Maracana de Rio de Janeiro, lors de ce match de qualifications pour le Mondial-2026.

Les joueurs Argentins, champions du monde en titre, ont quitté momentanément la pelouse et regagné les vestaires peu après la bagarre, qui a débuté au moment des hymnes nationaux et a été réprimée par une intervention musclée de la police. "Nous n'allons pas jouer, nous partons!", a dit le capitaine argentin Lionel Messi en sortant du terrain, selon les images de la télévision locale.

Mais l'équipe argentine est finalement revenue quand la situation s'est calmée en tribunes. Le coup d'envoi, prévu initialement à 21h30 (00h30 GMT mercredi), a été donné une demi-heure plus tard. En septembre 2021, un autre choc Brésil-Argentine avait été interrompu après seulement cinq minutes de jeu sur intervention des autorités sanitaires locales, quatre joueurs de l'Albiceleste ayant été accusés de violer le protocole anti-Covid.

Des représentants de l'agence sanitaire Anvisa et de la police fédérale étaient entrés sur le terrain pour mettre fin à la rencontre, dans la confusion la plus totale. Ce match de qualifications pour le Mondial-2022, dépourvu de tout enjeu, n'avait finalement pas été rejoué.

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