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Les Diables Rouges ont bénéficié d'un jour de repos mercredi. Le programme initial partagé à la presse annonçait l'habituel entraînement et les activités médiatiques ce jour-là, mais un communiqué de l'Union belge de football (URBSFA) publié mardi a modifié celui-ci. "C'était prévu", a pourtant avancé le directeur opérationnel de l'URBSFA, Jelle Schelstraete, mercredi.
Un moment informel avec le directeur technique Frank Vercauteren et Schelstraete a été tenu en lieu et place de la conférence de presse prévue initialement. Pour le second, il est "important d'avoir un jour libre", après la visite des familles qui a eu lieu mardi.
"Les joueurs ne s'entraînent pas non plus dix jours de suite lorsqu'ils sont en en club. Ils sont libres de faire ce qu'ils veulent. Les familles ne sont plus présentes, ce jour de repos offre donc une opportunité de stimulation physique et mentale. En club, les joueurs se reposent le lendemain des matchs et bénéficient ensuite d'un jour de repos. Nous ne voyons aucune raison de changer cela."
Jelle Schelstraete espère voir les Diables Rouges rester le plus longtemps possible dans la compétition. "Si vous pouvez avoir un entraînement de qualité, il n'est donc pas nécessaire que cela ait lieu tous les jours."
Pour l'équipe, il s'agit désormais de tourner la page de la défaite face à la Slovaquie et de se tourner vers la Roumanie. "L'ambiance de l'équipe n'a pas changé. Il y a eu de la déception et du silence dans le vestiaire après le match, mais l'attention était déjà sur le prochain match une fois de retour au camp de base. Pour nous, rien ne change et l'objectif est le même: continuer à travailler et remporter le prochain match. C'est à nous de prouver ce que nous pouvons faire et nous ne devons pas trop nous soucier des autres."