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Petits robots, grands effets dans ce cours de sciences de l’Athénée royal Jules Bara de Tournai dont le sujet est les trajectoires et les capteurs. Les applications directes sont tout de suite comprises par les élèves, comme dans l’automobile. "Par exemple : essayer pas reculer mur caméra recul, les caméras avant ça sert aussi par exemple s’il y a un piéton traverse à ne pas renverser. Donc c’est ce qui va essayer de réinventer technologie", explique Alexandre Balanger, élève de 2e secondaire, au micro d’Aurélie Henneton pour le RTLinfo 19H.
"Je pense que savoir d’où vient le programme des robots, ça va nous aider dans la vie plus tard"
L’objectif de l’utilisation de ces engins en classe est d’apprendre à parler robot. La mission est rapidement accomplie puisque les élèves sont captivés et actifs. "On baigne dedans. Il y a tout qui est technologique, nos téléphones, nos télés, tout marche comme ça, alors je pense que savoir d’où vient le programme des robots, ça va nous aider dans la vie plus tard", affirme Sarah Perez, elle aussi élève de 2e.
"Construire différentes formes géométriques en calculant les angles"
La technologie permet en effet de faciliter l’apprentissage des sciences et des maths. "Par exemple, en mathématiques, on pourrait développer le robot, puisque qu’on peut y placer un crayon, donc on peut développer un petit programme qui permettrait de construire différentes formes géométriques et où les élèves devraient calculer les angles selon lesquels le robot doit tourner", imagine Pascal Hochepied, prof de maths, face à la caméra d’Emmanuel Tallarico.
Les professeurs aussi sont conquis
L’athénée dispose de 24 robots et les 7 professeurs formés à leur utilisation sont conquis. "C’est ça qu’on veut aussi leur montrer, que les robots ne sont pas inaccessible. Ils ont accès aux robots à l’école aussi. Et que la programmation n’est pas forcément uniquement pour les ingénieurs", insiste Rachèle Dubois prof de sciences.
Certaines écoles utilisent même ces robots dès les années primaires.