Les attaques jihadistes de mardi contre une école de gendarmerie et l'aéroport militaire de Bamako, la capitale du Mali, ont fait plus de 70 morts et 200 blessés, a appris jeudi l'AFP de sources sécuritaires.
L'armée israélienne a indiqué jeudi avoir frappé dans la nuit six "sites d'infrastructures" du Hezbollah et un dépôt d'armes dans le sud du Liban, sur fond de craintes accrues de guerre à grande échelle avec le mouvement islamiste libanais.
Selon le radiodiffuseur public israélien Kan, l'État hébreu a proposé un nouveau projet d'accord pour un cessez-le-feu avec le Hamas, associé à la libération des otages séquestrés. D'après ce plan, Yahya Sinwar, le chef politique du mouvement extrémiste palestinien dans la bande de Gaza, serait autorisé à quitter la région sans entrave. En échange, tous les otages israéliens encore détenus par le Hamas devraient être libérés sur-le-champ.
Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan a accusé jeudi Israël d'"étendre la guerre au Liban" après la vague d'explosions perpétrées sur des appareils mobiles.
Un Hongkongais a été condamné jeudi à 14 mois de prison pour avoir porté un T-shirt arborant des slogans jugés "séditieux" par un tribunal de Hong Kong, devenant la première personne condamnée en vertu d'une nouvelle loi sur la sécurité nationale.
Un citoyen israélien qui avait été recruté par les services de renseignements iraniens pour préparer des assassinats de personnalités israéliennes parmi lesquelles le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a été arrêté, ont indiqué jeudi dans un communiqué commun la police et le Shin Bet (renseignement intérieur).
Vingt anciennes collaboratrices de Mohamed Al Fayed, célèbre homme d'affaires égyptien mort en 2023 à l'âge de 94 ans, l'accusent de violences sexuelles. Cinq d'entre elles affirment avoir été violées par le milliardaire, rapporte jeudi la chaîne publique britannique BBC.
Le Hezbollah libanais a annoncé la mort de 20 de ses membres entre mercredi soir et jeudi matin, tués selon une source proche de la formation pro-iranienne dans les explosions de talkie-walkies attribuées à Israël.
L'Équateur met en place des coupures d'électricité tournantes quatre nuits par semaine en raison de la pire sécheresse depuis 61 ans, affectant les centrales hydroélectriques. À partir de lundi, ces coupures dureront de deux à quatre heures selon les secteurs. Le gouvernement impose également le télétravail pour le secteur public et un couvre-feu dans certaines provinces en état d'urgence. Le pays fait face à un déficit énergétique d'environ 1.000 mégawatts, aggravé par un faible débit des rivières.
Le fabriquant japonais Icom a déclaré jeudi qu'il avait cessé de produire "il y a une dizaine d'années" les talkies-walkies soupçonnés d'avoir fait explosion mercredi au Liban, tuant des membres du Hezbollah qui a accusé Israël de les avoir piégés.
Le Brésil fait face à une crise d'incendies sans précédent, touchant près des deux tiers de son territoire. Quelque 188.623 départs de feu ont été identifiés depuis le début de l'année au Brésil. C'est presque autant que le total de l'année dernière. La situation s'est particulièrement aggravée en ce mois de septembre, avec 61.572 recensés en 17 jours, contre 46.498 sur tout le mois en 2023.