Le Kremlin a levé vendredi un coin du voile sur les Russes libérés dans le cadre d'un échange de prisonniers historique avec les Occidentaux, reconnaissant que certains d'entre eux étaient des agents de ses services de renseignement.
Le journaliste américain Evan Gershkovich a été reconnu coupable vendredi d'"espionnage" vendredi en Russie, et condamné à 16 ans de prison, une accusation jamais étayée par Moscou et rejetée par l'intéressé, ses proches et les Etats-Unis.