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L'actrice belge Stéphanie Crayencour se livre avec émotion sur le parcours spirituel qu'elle a entrepris après le décès de son frère, Maxime. À travers son livre "Le Papillon d'or", elle partage une enquête intime et captivante sur les signes qu'il lui envoie, sur la vie après la mort, et sur le lien indéfectible qui subsiste malgré la séparation physique.
Stéphanie Crayencour, bien connue pour ses rôles au cinéma et à la télévision, dévoile un aspect plus personnel de sa vie avec la publication de son livre "Le Papillon d’or". Ce livre est bien plus qu'un simple hommage à son frère disparu, c'est une véritable enquête sur la mort, l’au-delà, et les phénomènes inexpliqués qui ont marqué son deuil.
Une quête de vérité et de sérénité face à la mort
Tout a commencé lors d’un tournage dans le sud de la France. À des centaines de kilomètres de son frère, Stéphanie ressent une angoisse soudaine et viscérale, comme si quelque chose de terrible venait de se produire. Quelques heures plus tard, elle apprend que son frère, Maxime, s’est suicidé. Cette connexion inexplicable la pousse à chercher des réponses. "Comment ai-je pu sentir ça à des centaines de kilomètres de là ? Comment est-ce que j'ai pu être connectée à lui ?", s'interroge-t-elle dans son livre.
"Le Papillon d'or" est une quête vers la compréhension de ces phénomènes. Entourée de scientifiques, spécialistes de la mort, et de personnes ayant vécu des expériences similaires, Stéphanie tente de démystifier ce qui reste encore tabou dans nos sociétés occidentales : la mort.
Au fil de son enquête, elle découvre que son frère ne l’a jamais quittée et qu'il continue de lui envoyer des signes, notamment sous la forme d'un papillon jaune, symbole de renaissance et de transformation. "Ce n'est pas pour rien que le livre s'appelle "Le Papillon d'or". Un papillon de mort, de renaissance, nous a accompagné, ma mère et moi, à de nombreuses reprises depuis la mort de mon frère".
Grâce à cette exploration, Stéphanie affirme aujourd’hui ne plus avoir peur de la mort : "Je n’ai pas envie de mourir, mais je n’ai absolument pas peur". Elle espère d'ailleurs que notre vision occidentale de la mort évolue vers une approche plus joyeuse, à l'instar d'autres cultures. , en l’abordant avec plus de sérénité et moins de peur.