Accueil People News

En famille ou en couple? Un menu spécial au programme? Les présentateurs de RTL dévoilent les coulisses de leur réveillon

Les fêtes approchent, et nos présentateurs comptent bien en profiter. Mais comment vont-ils célébrer ? Nous avons posé la question à Olivier Schoonejans, Luc Gilson, Caroline Fontenoy et Michaël Miraglia.

Comment vas-tu passer les fêtes cette année ?

Caroline Fontenoy : Alors Noël, chez moi, ça se passe toujours en famille. Une année sur deux, c'est avec ma famille, et l'autre année avec ma belle-famille. C'est un moment où l'on se retrouve, car j’ai une famille qui travaille beaucoup. Le 25 décembre et le 1er janvier sont les deux seuls jours où personne ne bouge, et on peut profiter les uns des autres autour d'un bon repas.

Michaël Miraglia : Je passe le réveillon de Noël en famille, chez mes parents, qui habitent à Hensies, près de la frontière française. Cela a toujours été comme ça. Ces moments sont sacrés, et je n'y dérogerai pour rien au monde. Je suis conscient de la chance que j'ai de pouvoir encore les avoir auprès de moi, et je veux en profiter pleinement.

Vas-tu travailler pendant les fêtes ?

Olivier Schoonejans : Alors, j'ai la chance de ne pas travailler cette année. Cela m'est déjà arrivé de travailler le 25. Dans ce cas, on fêtait Noël le 24, avec un grand repas, et puis, à 2h du matin, quand tout le monde allait dormir, je partais pour présenter les flashs à la radio le 25. J'enchaînais les deux. Travailler le jour J, c'est une expérience particulière, on a un peu l'impression d'être dans une ambiance de fête.

Michaël Miraglia : Je travaille le 25 décembre. Je présente les journaux télévisés de 13h et de 19h. C'est la seconde année consécutive. Même si nous ne sommes qu'en "petit" comité, j'aime l'ambiance qui règne ce jour-là à la rédaction. Souvent, malgré une actualité qui continue et qui peut être parfois difficile, j'apprécie le contenu plus festif des éditions.

Quel sera le menu de ton repas ? Tu penses faire de la dinde ?

Luc Gilson : Alors non, trop classique à mon goût. En général, ce sera plutôt un gros apéro dînatoire. J'aime bien ce genre de formule et, a priori, on va partir là-dessus. C'est plus convivial et plus simple.

Caroline Fontenoy : On n’est pas dinde non plus ! Chez nous, ce serait plutôt du gibier. Et pour le Nouvel An, ce sera un excellent traiteur qui vient d’ouvrir. Comme je travaille, je n'ai pas le temps de cuisiner.

Pour les cadeaux, es-tu team "last minute" ou "à l'avance" pour les achats ?

Caroline Fontenoy : Very, very, very last minute. Parfois même la veille, au dernier moment.

Olivier Schoonejans : Je suis dans la team bien à l'avance, jusqu'à ce que je me rende compte, trois jours avant, que je n'ai aucun cadeau. Là, je bascule dans la team "last minute". Heureusement, ma femme est très organisée pour ça. Elle vient toujours me rappeler qu’il faut penser aux cadeaux. Elle s'en charge super bien, et, lâchement, je valide beaucoup de ses propositions parce qu'elles sont excellentes. Pour une fois, cette année, le 20 décembre, j'avais quasiment tout bouclé. 

As-tu une anecdote ou un événement inattendu qui t’est arrivé lors des fêtes ?

Luc Gilson : Une année, on a voulu organiser un feu d’artifice avec des potes dans un jardin pour Nouvel An. Il y avait un gars qui a réussi à se prendre un feu d’artifice en plein sur la tête quand il est retombé ! Résultat : départ en urgence. Il devait être minuit dix ou minuit quart et nous voilà aux urgences. On a terminé le réveillon aux urgences… Heureusement, le gars n’a rien eu de grave.

Michaël Miraglia : L’événement le plus inattendu pour moi, c’était l’an dernier. Je présentais les infos à Noël et au Nouvel An. Le 31 décembre au matin, je frôlais les 39,5 de fièvre. J’étais malade comme un chien. Ce furent les JT les plus longs et les plus éprouvants de ma vie.

Si tu devais résumer Noël en 1 mot (ou plus), que dirais-tu ?

Luc Gilson : Noël, c’est le partage. C’est un moment un peu suspendu, hors du temps. Comme une trêve. On parle souvent de la trêve dans les conflits. Mais là, c’est une trêve dans le rythme effréné du quotidien. Tout va tellement vite. À Noël, on se pose enfin un peu. Ça fait du bien.

Michaël Miraglia : Pour moi, Noël, c’est la nostalgie. La nostalgie des Noëls passés avec ceux qui ne sont plus là. Alors, ressuscitons-les en honorant leur mémoire et en nous remémorant les meilleurs souvenirs.

À lire aussi

Sélectionné pour vous