Trois jours après l'interpellation des parents de Santiago, qui avaient pris la fuite avec leur bébé, grand prématuré de 17 jours alors hospitalisé à Paris, leurs avocats s'expriment. Ils remettent en cause la notion d'enlèvement et mettent en avant les bons soins prodigués au bébé durant la cavale. Par ailleurs, ils précisent que les parents collaborent pleinement et acceptent d'être remis aux autorités françaises.