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La BD, "les Aigles de Rome" nous plonge dans la Rome antique où s'affrontent deux frères de sang : Ermanamer, le barbare et Marcus, le romain. Au coeur de leur duel, des femmes et des batailles épiques. Enrico Marini (en interview ci-dessus) démontre sa virtuosité. Aventure, rebondissemnts, graphisme sensuel et puissant, tout est là pour passer un grand moment de lecture. Vous avez aimé "Gadiator", vous allez adorer les "Aigles de Rome" !
Nul doute, "Les Aigles de Rome" font prtie de ces BD qui séduisent dès le premier regard. Un graphisme puissant, des couleurs magnifiques et vous voilà emporté. Le Tome 7 sort idéalement avant les fêtes. Nous voici plongé sous le règle de Tibérius. Arminius ou Ermanamer pour les Chérusques tentent de fédérer les tribus après sa victoire sur les légions romaines de Varus. Mais les divisions sont de retour et un nouvel ennemi se profile. A cela s'ajoute la vengeance de son frère de sang Marcus, passé de gladiateur à chef de la cavalerie de retour sur les terres germaniques. La guerre est de retour !
Cette fois, les enjeux sont encore plus grands car la famille se mêle comme toujours aux batailles. Arminius poursuit ses ambitions de royauté mais est-ce compatoble avec la future naissaine de son héritier ? Car Thusnelda, sa reine est enceinte. Quant à Marcus, il est à la recherche de son fils retenu en otage chez les barbares. Comme me l'explique Enrico Marini "la famille est un thème qui apporte une fragilité aux persoannges". (Voir interview). Cela permet aussi des rebondissements dans ce récit épique.
Comme depuis le débit de cette série, Enrico Marini attache beaucoup d'importance aux découpages des scènes d'action ou des moments plus intimes. Le graphisme est comme toujours d'une grande virtuosité. Les couleurs directes apportent
