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Au deuxième jour de l'ouverture du site, les convocations ont débuté. Il est toutefois apparu que certaines personnes se déplaçaient vers leur centre de vaccination sans avoir confirmé l'appel. "L'appel ne veut pas dire convocation. Il faut confirmer cet appel et attendre son heure de rendez-vous", rappelait-on.
Avec Qvax, les autorités veulent s'assurer qu'aucune dose de vaccin ne soit perdue, ce qui peut être le cas lorsqu'une personne attendue dans un centre de vaccination ne s'y présente pas. Dans ce cas, le centre peut rapidement lancer un appel aux réservistes pour bénéficier d'une injection.
Les inscrits sur Qvax sont classés par ordre d'âge ainsi qu'en fonction d'éventuelles comorbidités. Un jeune de 28 ans en bonne santé ne pourra donc pas dépasser un aîné de 65 ans, même s'il s'est inscrit avant sur la plate-forme. Le principe "premier inscrit, premier servi" n'y est donc pas de mise. Malgré cette garantie, le lancement ce mardi de Qvax a donné lieu à un important encombrement à l'enregistrement, qui semblait s'être apaisé mercredi.
Des heures d'attente mardi
Mardi, pour rappel, la plate-forme en ligne a été prise d'assaut et les inscrits ont souvent dû faire preuve de patience pendant plusieurs heures, avec le message qu'il y avait encore des dizaines de milliers de personnes devant eux (voir les détails).
Le gouvernement est en train de créer une liste de réserve centrale via Qvax.be (pour Wallonie et Flandre) afin d'éviter de perdre des doses lorsque les gens ne se présentent pas à leur rendez-vous de vaccination. Les candidats qui ont indiqué être disponibles via Qvax seront alors contactés rapidement pour recevoir une injection le jour même, selon leur âge.