Une fois adultes, certains parlent de cauchemar de la visite médicale obligatoire, d'autres évoquent de bons souvenirs: faites-nous part de vos témoignages d’enfance et d’adolescence.
Qui d’entre vous garde un bon souvenir des visites médicales ? Pour beaucoup, s’y soumettre représentait un vrai cauchemar en étant enfant, rappelle Sudpresse. Peur de ne pas avoir envie de faire pipi dans le pot, gêne éprouvée lorsque le jeune doit se déshabiller ou se faire peser devant tout le monde, peur des piqûres, gêne de faire tous ces examens devant les copains et copines... Bref, la liste était longue, n’est-ce pas ? Certains y voient tout de même du positif: lire les lettres sur le tableau blanc lors du contrôle de la vue ou écouter l'infirmière chuchoter des sons à l'oreille lors du test d'ouïe sont en général de bons souvenirs. Pas très gai de se déshabiller quand son corps change Les visites médicales ont lieu lors des 1ère et 3e maternelle, puis lors des 2e et 6e primaire, puis lors des 2e et 4e secondaire. Elles se déroulent souvent de la même manière : l’infirmière fait passer des tests d’urine, d’ouïe et de vue, pèse et mesure l’enfant. Ensuite, le médecin ausculte l’enfant pour être certain que tout aille bien. Lors de ces moments-là, le jeune est souvent gêné de se dévêtir, surtout lorsque son corps change à l’approche de l’adolescence. Jugé parfois humiliant, l’examen n’en est rien, mais peut-être faudrait-il le réformer. Les Flamands veulent une réforme Du côté flamand, on estime que la visite médicale est désuète et humiliante : "Il faut la réformer" , dit-on. En effet, la Flandre pense que le fait de rester dévêtu devant tous les copains et copines tout au long de la visite est gênant, indique le quotidien La Capitale. Dès lors, certaines voix s’élèvent pour demander une réforme de la visite médicale traditionnelle, même si tous s’accordent sur son importance primordiale.
