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Jocelyne, qui nous a contactés via le bouton orange "Alertez-nous", a souhaité payer en liquide après une séance de shopping. La vendeuse lui a refusé, car il s'agissait d'un faux billet. Mais comment peut-on les reconnaître ?
Lorsque l'on paie en liquide, on s'affiche à un certain risque : être en possession d'un faux-billet. C'est ce qui est arrivé à Jocelyne, qui nous a contactés via le bouton orange "Alertez-nous". Comment peut-on les reconnaître ? Afin de s'assurer que le commerçant a raison, il est nécessaire de toucher, regarder et incliner le billet. Parce qu'en général,
les contrefaçons sont de mauvaises imitations.
Les caractéristiques
Un faux-billet est caractérisé par un papier ferme. Certaines parties sont plus épaisses que d'autres. Il faut regarder le billet par transparence, de nombreux détails doivent apparaître. Mais pour en avoir le cœur net, le plus simple, c'est de se rendre dans une banque. Elles ont les équipements nécessaires pour traiter et vérifier ces billets.
Cependant, les faux billets n'ont aucune valeur. Si vous en acceptez un, vous ne serez pas indemnisé. Et à l'inverse, si vous le cédez à quelqu'un, en sachant que c'est un faux, vous risquez des poursuites pénales.
La Banque Nationale de Belgique précise que c'est important d'essayer de vous rappeler d'où vient ce faux billet et de savoir qui vous l'a donné. "Ces informations peuvent s’avérer cruciales dans la recherche des faux-monnayeurs".
L'an dernier, en Belgique, 11 000 billets contrefaits ont été saisis. Souvent, il s'agit de coupures de 20 et 50 euros.
Concrètement, cela représente 16 contrefaçons, pour un million de billets authentiques en circulation. C'est donc relativement peu.