Israël a promis dans la nuit de mardi à mercredi que ses avions de combat allaient continuer de frapper "avec force" dans les heures qui viennent "au Moyen-Orient".
L'armée israélienne a appelé dans la nuit de mardi à mercredi la population à évacuer "immédiatement" pour sa "sécurité" deux bâtiments de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah et leurs environs dans un rayon de 500 mètres.
Le ministère libanais de la Santé a annoncé mardi soir que 55 personnes avaient été tuées et 156 autres blessées par des "frappes de l'ennemi israélien" au cours des dernières 24 heures dans plusieurs régions du pays.
Le gouvernement minoritaire de Justin Trudeau, impopulaire dans les sondages et affaibli par plusieurs récents revers politiques, a survécu mardi à une seconde motion de censure en autant de semaines déposée au Parlement canadien par son principal rival.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a estimé mardi soir que l'Iran avait "commis une grave erreur" en attaquant son pays, et qu'il en "paierait le prix", Israël étant déterminé à faire "rendre des comptes à ses ennemis".
Le président américain, Joe Biden, a réaffirmé que les Etats-Unis "soutenaient pleinement" Israël, visé mardi par une attaque iranienne qui a été "repoussée" et s'est révélée "inefficace" selon lui. La vice-présidente et candidate démocrate Kamala Harris a aussi affirmé son "engagement inébranlable" pour la sécurité d'Israël.
Le président américain, Joe Biden, a réaffirmé que les Etats-Unis "soutenaient pleinement" Israël, visé mardi par une attaque iranienne qui a été "repoussée" et s'est révélée "inefficace" selon lui.
Le Liban a annoncé mardi soir la réouverture de son espace aérien après une brève suspension de près de 2h en raison du lancement par l'Iran d'une attaque de missiles contre Israël.
Après les attaques de l'Iran, Israël prépare sa riposte : l'état hébreu a lancé mercredi matin un nouvel appel exhortant les civils à évacuer "immédiatement" de nouvelles localités dans le sud du Liban .
Un journaliste de guerre belge, Robin Ramaekers, s'est rendu sur le lieu de l'attaque du chef du Hezbollah libanais, dans la banlieue sud de Beyrouth. Il est le premier journaliste à s'être rendu sur place. De son propre aveu, il n'a jamais connu cela de sa carrière, une destruction totale et une population aux abois.
Le lancement de la campagne de vaccination contre le mpox, prévu initialement mercredi en République démocratique du Congo (RDC), a été repoussé notamment en raison de retards dans l'acheminement des précieuses doses, a-t-on appris mardi auprès des autorités sanitaires. Une nouvelle date n'a pas été clairement communiquée à ce stade par les autorités du vaste pays d'Afrique centrale de loin le plus touché au monde par le virus.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a insisté mardi pour un cessez-le-feu "immédiat", soulignant qu'une "guerre totale au Liban doit être évitée à tout prix", selon un communiqué de son porte-parole.
Le nouveau Premier ministre japonais Shigeru Ishiba a estimé mardi que son pays était confronté à la situation sécuritaire régionale la plus grave de l'après-Deuxième Guerre mondiale.
Les Etats-Unis, impuissants jusqu'ici à empêcher une escalade militaire au Moyen-Orient, ont mis en garde mardi contre une attaque "imminente" de l'Iran contre Israël, avertissant qu'elle entraînerait de graves "conséquences" pour Téhéran.