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Le prince Laurent a signé un accord avec l'université du Bosphore à Istanbul par le biais de son ASBL, Environment Network (EN), pour établir "des ponts de coopération entre l'Europe et l'Asie dans le domaine des nouvelles technologies énergétiques", a-t-il rapporté lundi dans un communiqué.
Avec cet accord, le prince Laurent ambitionne de "répondre d'urgence aux nouvelles législations européennes et internationales" dans le domaine des technologies énergétiques propres. D'ici à 2030, l'Union européenne (UE) doit en effet réduire ses émissions de gaz à effet de serre nettes d'au moins 55% par rapport à 1990. Mais pour atteindre cet objectif, le secteur de l'énergie doit être remanié.
"Mon projet d'hybridation d'énergies renouvelables était révolutionnaire à l'époque, et l'est toujours aujourd'hui", a-t-il expliqué à Belga, précisant en outre que l'ex-Premier ministre Guy Verhofstadt avait reconnu son travail réalisé dans le secteur par le biais d'une lettre officielle.
"Les centrales d'hybridation de technologies renouvelables et d'efficacité énergétique font interagir un grand nombre de ces technologies dans un seul et même système. Je peux faire faire des économies de centaines de millions d'euros aux entreprises, mais aussi diminuer la pollution de 80%, voire même de 100%", a défendu le prince Laurent.
"Je voudrais pouvoir m'impliquer davantage avec l'UE, les entreprises et l'ASBL que dirige ma femme."