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"Les pluies persistantes des 14 et 15 juillet 2021 qui ont touché certaines régions du pays peuvent avoir pour conséquence que l'exécution du contrat de travail soit devenue impossible pour certains travailleurs et qu'elle doive dès lors être suspendue", indique l'ONEM sur son site internet. C'est notamment le cas si le lieu de travail est inondé, si les locaux de l'employeur sont touchés ou détruits. Mais aussi si le travailleur est dans l'impossibilité de circuler ou d'emprunter les transports en commun et qu'il ne peut pas télétravailler.
Vu la situation exceptionnelle et jusqu'au 15 août 2021, "l'ONEM accepte que des circonstances qui, en soi, ne rendent pas directement le travail impossible puissent toutefois être invoquées pour justifier le chômage temporaire force majeure". Exceptionnellement, ce chômage temporaire peut être introduit sans notification préalable à l'ONEM. Dans la déclaration mensuelle du nombre de jours de chômage temporaire, l'employeur devra mentionner qu'il s'agit de "conditions climatiques exceptionnelles".