Les pays membres de l'Organisation mondiale de la santé ont repris les négociations lundi afin de préparer le monde aux prochaines pandémies. Pour l'organisation, l'urgence est absolue.
Une étude révèle que les épidémies de mpox en Afrique suivent deux schémas de transmission distincts. Le variant historique (clade 1) se propage principalement par contact avec des animaux, tandis que le nouveau variant (clade 1b) se transmet surtout entre humains.
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Les premiers vaccins contre le mpox devraient arriver ces prochains jours en République démocratique du Congo, a indiqué vendredi le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les épidémies de mpox en RDC et dans les pays voisins "peuvent être maîtrisées et stoppées", mais il va falloir quelque 121 millions d'euros pour financer la riposte internationale ces six prochains mois, a indiqué lundi l'OMS.
Une rumeur a circulé jeudi matin à Alost concernant un potentiel cas de MPox. Le bourgmestre Christoph D'Haese a rassuré la population en déclarant qu'il n'y avait aucune raison de paniquer, tout en plaçant les services médicaux en alerte par précaution.
Le comité de gestion des risques, en collaboration avec les autorités sanitaires belges, a récemment évalué les risques liés à une nouvelle épidémie potentielle de mpox. Les conclusions indiquent un risque global faible pour la population générale, mais des précautions spécifiques sont envisagées pour les groupes à risque.
Un premier cas d'un variant plus contagieux et dangereux de la variole du singe a donc été détecté en Europe, plus précisément en Suède. Le malade a été infecté après un séjour dans une région d'Afrique, touchée par l'épidémie.
La recrudescence de la variole en République démocratique du Congo et dans un nombre croissant de pays d'Afrique pousse l'OMS à déclarer une urgence sanitaire mondiale.