Des aides ont été allouées de manière injustifiée par le CPAS d'Anderlecht, et la ministre sortante de l'Intégration sociale, Karine Lalieux (PS), a prévenu qu'elles devront être remboursées par le CPAS qui les a accordées trop vite et sans contrôle. Reste à savoir si le CPAS se retournera contre les bénéficiaires pour récupérer ces montants, une question qui demeure sans réponse ce soir.
Un reportage mettant en lumière des irrégularités dans l'octroi d'allocations au CPAS d'Anderlecht a été diffusé cette semaine. Ce jeudi, la ministre de l'Intégration sociale, Karine Lalieux, a pris la parole à la Chambre.
Mohammed, 59 ans, vit à Molenbeek depuis plus de 20 ans. Il y a une vingtaine de jours, l’homme a été expulsé de son appartement. À présent sans logement, il dort dans la rue. Sa sœur, Noura, nous a contactés pour nous raconter son histoire.
Des travaux d'intérêt collectif pourront-ils être imposés aux chômeurs de plus de 2 ans à Tournai ? Si le MR dit "oui", les Écolos sont clairement contre... Que décidera la nouvelle coalition MR-Les Engagés-Ecolos ? La réponse de Marie-Christine Marghem, future bourgmestre de Tournai, est claire : "On n'en a pas encore parlé".
"Je vais péter une durite", s’énerve Sebastien. Cet ancien détenu de 47 ans est sorti de prison il y a 3 ans. Depuis peu, il rencontre des difficultés financières qui l’empêchent de se réinsérer de manière durable. À bout de nerfs, il décide de presser le bouton orange Alertez-nous pour raconter son histoire.
Thierry Bodson, président du syndicat socialiste, était notre invité ce mercredi dans le Bel RTL Matin. Au micro de Martin Buxant, il a évoqué une étude de la FGTB sur la limitation du chômage dans le temps. Selon le syndicat, cette mesure ferait exploser les coûts pour les communes. Voici comment.
Isis, une tatoueuse itinérante, risque de perdre son droit d'exercer en Belgique faute d'adresse fixe. Elle nous a contacté vis le bouton orange car, vivant dans son "Tattoo truck", la commune de Seraing lui refuse sa demande de domiciliation.
Le CPAS de Namur déplore des violences verbales, mais aussi physiques, qui ont atteint un niveau inégalé cette semaine. Résultat: l'institution a décidé de fermer ses portes ce vendredi après-midi pour protester contre cette agressivité subie par les membres du personnel.
Après avoir passé la majeure partie de sa vie dans la rue, Simon (prénom d’emprunt) risque de se retrouver à nouveau sans-abri d’ici peu. Le jeune homme de 28 ans lance un appel à l’aide et dénonce sa situation via le bouton orange Alertez-nous.