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Christian Horner a été blanchi, il y a quelques jours, de toutes les accusations de comportements inappropriés qui pesaient contre lui. L'enquête indépendante, menée à la demande de Red Bull après avoir été averti par une plaignante de faits douteux du Team Principal de l'écurie de F1, avait conclu qu'Horner était innocent. Mais l'affaire n'est pas encore terminée.
Depuis hier, alors que l'Anglais était présent à Bahreïn pour les premiers essais libres de la saison, une fuite d'informations secoue le paddock. Des centaines de journalistes, mais aussi les officiels de la Fédération Internationale de l'Automobile et les dirigeants des diverses écuries ont reçu un mail anonyme, donnant accès à un grand Google Drive. Des captures d'écran, des messages et des photos liées à cette affaire y seraient stockées. Les images doivent encore être authentifiées et selon diverses sources, des avocats auraient déjà menacé les médias de poursuites judiciaires s'ils divulguaient ces contenus.
C'est une petite bombe dans le paddock. Dans la foulée, plusieurs patrons d'écurie, Zak Brown (McLaren) et Toto Wolff (Mercedes) se sont exprimés, demandant à la F1 d'intervenir pour répondre aux questions encore sans réponses dans ce dossier. Christian Horner, lui, s'appuie sur le résultat de la première enquête. "Je ne commenterai pas les spéculations anonymes. Mais je répète que j'ai toujours nié ces accusations. J'ai respecté l'intégrité de l'enquête indépendante et j'ai pleinement coopéré à chaque étape. Il s'agissait d'une enquête approfondie et équitable, menée par un avocat spécialisé, qui a abouti au rejet de la plainte déposée. Je reste pleinement concentré sur le début de saison", a déclaré l'Anglais dans un communiqué.
Cette "affaire Horner" rebondit une nouvelle fois.