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Denis Van Weynbergh va pouvoir participer au Vendée Globe, l'Everest des mers, le tour du monde en solitaire et sans escales qui s'élancera le 10 novembre des Sables d'Olonne. Une nouvelle bienvenue qui lui permet d'aborder les prochains mois de manière détendue et en particulier la New York-Vendée, l'ultime course de préparation, qui s'élance mercredi (20h00 belges), à la barre de son D'Ieteren Group son monocoque Imoca de 60 pieds (18m28).
"Forcément on est soulagé d'avoir validé ce volet-là, la qualification" a-t-il réagi mardi sur son compte Facebook. "Cela faisait longtemps qu'on courait après. C'est un bel aboutissement, une belle victoire."
En compagnie de 28 autres skippers, l'Ottintois de 56 ans prend le départ ce mercredi de la répétition général. La traversée de l'Atlantique nord en solitaire d'est en ouest.
"C'est du plaisir. Il faudra toujours continuer à s'améliorer, à améliorer les réglages du bateau, à trouver des trucs. Maintenant, cela reste une transat en solitaire même si c'est dans "le bon sens", ce n'est pas une mince affaire. Il faut se concentrer et revenir dans l'ADN de la course et se recentrer sur la compétition".
Van Weynbergh a connu une préparation un peu compliquée à New York avec un problème de mât (fissure de 40 cm dans le sens de la longueur) et d'électronique (des composantes ont souffert après un coup de foudre à proximité). Tout est rentré dans l'ordre à temps.
