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"Je ne veux plus jamais revisiter ce personnage": Ellen Pompeo quitte Meredith Grey pour un rôle radicalement différent

L’actrice américaine de 55 ans tourne la page après 20 ans dans la peau de Meredith Grey. Elle incarne une mère adoptive troublante dans une mini-série inspirée d’une histoire vraie.

Ellen Pompeo était à Paris ce lundi 24 mars pour présenter "Good American Family", sa première série depuis son départ de Grey’s Anatomy. Diffusée sur Disney+, cette mini-série s’inspire d’un fait divers survenu aux États-Unis en 2010. Elle raconte l’histoire d’une fillette atteinte de nanisme, soupçonnée par ses parents adoptifs d’être en réalité une adulte qui se fait passer pour une enfant.

L’actrice incarne Kristine Barnett, la mère adoptive de l’enfant, un rôle complexe qui la plonge dans une histoire aux zones d’ombre multiples. "C’était difficile, et il y avait tellement d’éléments dans le scénario", a confié Ellen Pompeo. "Je me suis vraiment concentrée principalement sur la physicalité du personnage : comment elle marchait, comment elle parlait, comment elle s’habillait, ce qui informait ses décisions, son éducation, ses croyances..."

Un changement radical après deux décennies dans le même rôle

L'actrice a quitté Grey’s Anatomy en 2023 après 21 saisons dans le rôle de Meredith Grey. Un choix personnel dicté par l’envie de passer plus de temps en famille : "J’ai trois enfants, je vais prendre soin d’eux et je veux vraiment être davantage présente pour eux désormais", avait-elle expliqué à l'époque.

Interrogée à Paris sur cette transition, elle assume : "C'est une grande page qui se tourne et je suis contente que ce soit fini ! Je ne veux plus jamais revisiter ce personnage, mais je suis très heureuse de l'avoir fait". Elle se dit fière d’avoir relevé le défi d’un rôle aussi différent : "C’était quelque chose de très difficile, et les gens semblent bien réagir".

"Good American Family" mêle drame psychologique, tension et moments plus légers. Un mélange de tons que l’actrice a tenu à affiner avec les créateurs : "C’est très sombre et lourd, et puis il y a des moments de légèreté, de ce qu’on appelle le 'camp'... Il y avait un équilibre délicat de ton pour alléger certaines ambiances".

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