Accueil People News

"Elle a ressenti une présence maléfique": Philippe Geluck raconte l'étrange séjour de Céline Dion en Belgique

L'artiste belge Philippe Geluck a partagé une anecdote pour le moins surprenante sur le bref séjour de Céline Dion près de chez lui, à Bousval, en Belgique. La chanteuse québécoise, venue pour des répétitions, aurait été troublée par des phénomènes étranges dans sa maison, avant de décider de partir prématurément.

L’artiste belge Philippe Geluck, bien connu pour Le Chat, vient de publier un recueil d'anecdotes étonnantes intitulé "Tout est vrai, je le jure". Parmi les histoires qu’il y relate, celle de Céline Dion, venue s’installer temporairement dans le village de Bousval, à quelques centaines de mètres de chez lui, intrigue particulièrement. Céline Dion était alors venue répéter son spectacle sous la direction de Franco Dragone, célèbre metteur en scène, mais sa résidence n’a duré que quinze jours au lieu des trois mois initialement prévus.

Philippe Geluck raconte que l’un des premiers obstacles pour Céline Dion fut la météo, exécrable, lors de son séjour en Belgique. Mais la vraie raison de son départ semble relever de l’étrange. Selon Geluck, la chanteuse a ressenti une "présence maléfique" dans sa maison de Bousval : "Elle retrouvait des portes, qu’elle avait fermées à clé, ouvertes le lendemain, ou des volets de la piscine qui s’ouvraient ou se fermaient sans raison", confie-t-il. Ces phénomènes inexpliqués auraient poussé la chanteuse à quitter précipitamment les lieux.

Une maison au passé trouble

Intrigué par cette expérience, Philippe Geluck explique s’être penché sur l’hisoire de cette maison et y avoir découvert un passé sombre. "Cette maison avait été construite sur l’ancien site d’un cloître où des moines, apparemment devenus fous, se sont suicidés", rapporte l'auteur de la série de bande dessinée "Le Chat". Cette coïncidence semble avoir renforcé l’impression de malaise ressentie par la chanteuse, qui préféra ne pas prolonger son séjour. Geluck se souvient d’en avoir parlé avec elle un an plus tard, et malgré les frayeurs, les deux en avaient ri.

L’anecdote ne s’arrête pas là. Geluck, en rédigeant ce passage pour son livre, s’aperçoit que le texte qu’il venait de taper comptait précisément 1.488 caractères, soit le code postal de Bousval. "Il y a des choses qui nous dépassent", observe-t-il, amusé par cette coïncidence.

À lire aussi

Sélectionné pour vous