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La secrétaire générale de l'UPAV a demandé une levée de l'interdiction des voyages non-essentiels après le 1er mars. "Nous plaidons pour une harmonisation européenne. Nous pensons effectivement qu'il peut y avoir des restrictions qui soient posées mais pas des interdictions. Ce n'est pas proportionnel".
Si l'UPAV n'obtient pas gain de cause, quelles en seront les conséquences? "Le secteur est très mal pris. On est en train de demander des aides et des aides. Nous n'avons pas d'écoute nécessaire, même si je sais que nos gouvernements font des efforts. Mais nous avons besoin d'aides encore et toujours, autant pour le secteur que pour les voyageurs qui veulent voir une perspective. Nous demandons d'avoir une perspective par rapport à où, quand et comment nous allons voyager".
Si les voyages non-essentiels sont autorisés, ce sera sans doute avec des conditions. "Les conditions, on les connaît. Elles sont bien plus strictes en Belgique qu'ailleurs. Nous ne comprenons pas pourquoi certains pays européens acceptent les tests anti-géniques qui sont rapides et fiables. La Commission européenne a édité une liste avec 17 tests anti-géniques qui ont été validés. Pourquoi, ici, en Belgique, nous n'en parlons pas? C'est un outil qui serait vraiment nécessaire et vraiment le bienvenu pour nos voyageurs et notre secteur".
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