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"C'était la Tuche qui arrive à l'Elysée": Capucine Anav se souvient de ses débuts avec Louis Sarkozy (vidéo)

Le 13 octobre, Capucine Anav était invitée de l'émission "Chez Jordan" sur C8. L'ex-candidate de téléréalité a parlé de l'époque où elle sortait avec Louis Sarkozy, fils de Nicolas Sarkozy et Cécilia Attias. Le couple s'est fréquenté durant deux ans, de 2014 à 2016.

Après leur idylle, la jeune femme n'allait pas bien. "J'ai fait une dépression pendant un an. J'étais jeune, j'avais 24 ans et je n'aurais jamais pensé. J'ai été prise dans un système. C'était la période où j'étais sur le Mag tous les soirs, ensuite j'allais préparer mon émission radio. En plus de ça, j'avais une relation très médiatisée avec Louis Sarkozy, très jugée et très critiquée aussi au début", a expliqué la jeune femme sur le plateau de Chez Jordan, dont les propos ont été relayés par Closer.

"Après les gens ont vu que c'était une relation sérieuse, mais au début, il y avait des jugements. C'était la Tuche qui arrive à l'Elysée.a ajouté la future maman.


Capucine Anav confie qu'elle a beaucoup de respect et pour sa famille. "Il s'est toujours hyper bien comporté avec moi. Je viens d'apprendre qu'il vient de se marier et je suis sure que c'est avec une super fille avec qui je pourrais m'entendre. Lui pourrait s'entendre avec Victor. Entre nous, il n'y a plus d'amour, mais il y a beaucoup d'affection. Après voilà je pense que c'est compliqué, il y a trop de jalousie des deux conjoints..."

Mais Capucine Anav avoue que la rencontre la plus impressionnante pour elle n'a pas été Nicolas Sarkozy, mais Carla Bruni. "J'ai grandi avec ses chansons. On se suit sur Instagram, je commente ses photos... Pour la première rencontre avec Nicolas Sarkozy, j'appréhendais beaucoup. C'était un déjeuner chez les Républicains. On m'a briefée, surtout mes parents parce que je suis très naturelle et authentique et il y a des choses qui peuvent sortir parfois... mais c'est pour ça qu'on m'aime aussi."

"Il m'a demandé comment ça se passait en me disant: 'Moi je ne pourrais pas'. Il m'a sauvée. Je me suis dit, mais si lui, président de la République, aussi cultivé et brillant, ne me juge pas, qui a le droit de me juger ?"

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